l'esprit de l'escalier
Datte: 28/08/2017,
Catégories:
h,
fh,
ffh,
fagée,
jeunes,
fépilée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Masturbation
Oral
pénétratio,
totalsexe,
... cris, ses gémissements me faisaient bander rien qu’à l’entendre… Je cadrais serré son entrejambe nu et son sexe offert, lisse, doux et superbe, son ventre musclé, à peine perturbé par sa position obscène mais si belle. Elle avait de belles mains, des mains fines mais fortes, des mains faites pour les caresses. J’étais fan de son sexe ainsi révélé et qui correspondait tellement à mes fantasmes les plus secrets. Ce qu’elle faisait là réalisait un de mes rêves, jalousement gardé. J’attendais ce moment depuis si longtemps, rêvant de voir enfin révélé le bombement si doux qui menait à la blessure parfaite de son sexe. J’étais aux anges de voir dans mon viseur sa vulve, nette et gracieusement découpée, son mont de Vénus bombé, sa fente mouillée et déclose. J’enviais la jeune fille de pouvoir laisser ainsi libre cours à ses envies les plus cachées. À ce moment, un gros chat, noir comme la suie, sauta sur les genoux de mon amie qui l’accueillit avec des caresses sans pour autant arrêter de se toucher. Gilda revint avec une tasse de thé parfumé et la tendit à Clara : — Attention c’est chaud, ne te brûle pas, ce serait dommage. Elle me sourit et je lui rendis son sourire avec difficulté. J’étais dans un état second, n’en pouvant plus de la situation qui s’offrait à moi : Clara entièrement nue devant nous, Clara qui s’envoyait en l’air en prenant le thé, en discutant avec la vieille dame, de tout et de rien. Je voyais avec acuité la patte gauche du chat ronronnant posé sur le sein nu ...
... de Clara, les griffes qui doucement sortaient et rentraient, piquant la peau juste sous le mamelon érigé. La main de la jeune fille bougeait doucement, martyrisant son clitoris au rythme des griffes du chat. Son sexe était ouvert et se mouillait. Je voyais tout, voyeur privilégié et Clara buvait mon regard, le recyclait en désir et en plaisir. Clara sirota son thé et je voyais toujours sa main posée entre ses jambes, pinçant son clitoris avec délicatesse. Elle posa sa tasse. Ma verge, énorme, roide et dure comme jamais, tendait le tissu de mon pantalon d’été. J’avais chaud mais je ne transpirais pas, la tasse de thé fumant tremblait dans ma main, sur sa soucoupe. Gilda ne semblait rien remarquer, elle ne pouvait pas ne pas voir d’où elle se trouvait l’entrejambe ouverte de Clara dont la main bougeait trop régulièrement pour ne pas attirer l’attention… et puis Clara fermait les yeux, je voyais sa poitrine se soulever à un rythme rapide. Ses tétons étaient énormes. Elle enfonçait avec décision ses doigts dans son intimité, les faisaient aller et venir et cela faisait un bruit mouillé, obsédant. Gilda ne parlait plus, je voyais ses yeux briller, et bouger, remontant du bas-ventre de Clara à son visage, puis à ses seins aux tétons sortis. Elle s’était assise presqu’en face d’elle et regardait le spectacle qu’offrait Clara, attentive, captivé comme moi par la grâce qu’elle arrivait à insuffler à ses gestes pourtant d’une obscénité totale. Je n’entendais plus que ce bruit obsédant, ...