1. Le garçon boucher 2


    Datte: 26/06/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... Attaquée de toutes parts, chatouillée, sucée, mordue, fouillée, Émilie se tordait de plaisir, s’ouvrait, s’offrait et finit par me supplier de la prendre. Je la pénétrai, limai comme un fou, la tournai et retournai, la chevauchai, puis la reçus sur moi. Autour de mon cou, elle nouait ses bras ou me faisait un collier de ses jambes. Elle gémit, cria ses orgasmes. Elle se donna sans réserve, se servit. Elle m’encourageait, me trouva formidable, demanda d’où me venait ce déchaînement. Apparemment épuisée par la joute, elle obtint un cessez-le-feu. - Oh ! Le fou, regarde comme tu m’as marquée ! , dit-elle en se regardant dans le grand miroir de la salle de bain. - C’est normal, tu es à moi, tu es ma femme, c’est pour que tu t’en souviennes. Qui le verra ? Toi et moi ! Voilà des parties du corps qu'on ne montre pas à n'importe qui, non? - Tu t’es vidé en moi. Tu aurais pu te retirer. Tu te rends compte, je risque d’être enceinte. Ça va déformer mon corps ! - Ah ! Un enfant de toi, enfin, quel bonheur ce serait. Et tes clientes seraient ravies de l’apprendre. Viens, pose ta tête sur mon épaule ! Repue, elle s’endormit bien vite, une main en protection sur mon pénis retombé. À qui rêvait-elle ? Le matin, elle me répéta combien elle m’aimait, me prépara mon petit déjeuner en chantonnant gaiement et m’expédia au travail avec un baiser chargé de reconnaissance. Mon patron m’accorda un congé pour l’après-midi. Ma demande exceptionnelle ne perturbait pas ses plans. Habituellement, ...
    ... Émilie prend un repas léger au salon de coiffure pour conserver une ligne enviée de ses clientes, adeptes forcenées des régimes les plus farfelus et victimes d'un haïssable yo-yo? Elle est fière de sa ligne et rejette à un plus tard incertain, une grossesse peu désirée de ma femme. Elle ne revient jamais à la maison. Aujourd'hui elle fera exception pour accueillir le garçon boucher. Je rentre à la maison, je m’installe dans la chaufferie et vide la gamelle qu’elle m’avait préparée. Je veux savoir ce qui va se passer à l'abri des regards. Logiquement je peux m'attendre au pire. Quand on s'est embrassé aussi passionnément en public, on est partie pour consommer en privé, ou je n'y connais rien. Et bien, aujourd’hui, ma femme arrive, très gaie, elle chante à tue-tête dans cette maison qu’elle croit vide et monte immédiatement à l’étage. Au bruit des talons sur le parquet, je suis ses déplacements. Elle s’attarde à la salle de bain, l’eau coule, un léger nuage de parfum de luxe descend vers la cave. On sonne, je repousse la porte de séparation entre cave et entrée. - Pousse la porte, c’est ouvert, je t’attends. Tu vas bien mon beau gosse, tu es en forme ? Monte que je voie si ton plumage est aussi beau que ton ramage ! - Oh ! Que tu es belle. Quel beau morceau ! C’est un compliment de boucher. Il s’est arrêté au pied de l’escalier pour bramer son admiration. - Tourne doucement. Quelle belle pièce, quel cul. Tes yeux de génisse me font bander comme un taureau. Oh ! - Viens, monte ton ...