1. Hélène et le garçon (4)


    Datte: 28/08/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... bassin et me positionne pour mieux profiter de sa longueur dans mon sillon fessier. Il ne doit pas en revenir d’être en contact direct avec ma raie. Et puis tans pis ! Je me laisse aller à poser une main sur sa fesse pour lui imprimer un rythme plus lent, mais aussi plus fort, plus appuyé. Il a pleinement compris que je l’encourage et halète dans mon cou, en me murmurant : « Oh maman, je t’aime, je t’aime ! ». Je ne réponds pas et prends conscience que je viens de commettre une chose désormais irréparable. Pourquoi ai-je fait ça ? Mais mon corps réagit autrement et apprécie cette vigueur si près de mon intimité. Je mouille comme pas possible et en glissant ma main entre nos corps, je m’empare de son objet. C’est impressionnant ce que je touche là. Je n’arrive pas à en faire le tour et préfère coulisser mes doigts sur la hampe. Comme il est dur ! Comme c’est doux ! C’en est trop ! Je me retourne, fais mettre Eric sur le dos, lui enlève le slip d’un geste prompt. Je m’agenouille entre ses jambes ouvertes et admire, dans la clarté de la lune, les dimensions de son sexe tendu. Il est vraiment imposant ! Je n’en ai jamais vu un pareil ! Celui de mon mari parait ridiculement petit à coté du sien. Oh bien sûr, il doit y avoir plus grand ou plus gros, mais là, il y a vraiment de quoi se faire plaisir ! C’est un menhir ! Il est vivant, palpite, il demande à être saisi. Ce que je j’entreprends de faire ! Je le presse, le caresse délicatement, le fais rouler entre mes mains, taquine le ...
    ... gland. Toutes mes pulsions sexuelles se cristallisent sur ce phallus tendu ! Je tiens là l’objet de mes rêves et de mes obsessions. C’est magnifique. Et mon Eric qui se tortille sous mes caresses. « Oh, maman ! Maman ! » Je me sens comme une chatte en chaleur, je remonte à hauteur de son oreille pour lui susurrer dans un souffle : « Hélène, appelle moi Hélène !» Il est encore plus surpris quand je dépose une bise sur ses lèvres. Je me remets entre ses jambes pour bien prendre son sexe gonflé à deux mains et je me mets à le branler, à le caresser. Toujours dans ma folie, j’ouvre grand les lèvres et engobe son gland. Je commence à peine à le pomper qu’il se cambre en se crispant et envoie de nombreux jets dans ma bouche. Je n’arrive pas à tout accepter et recueille les dernières giclées dans ma main. J’avale lentement sa semence, me lèche les doigts et finis de le nettoyer totalement avec la langue. « Oh mam… Hélène ! » Je ne laisse pas finir sa phase et me lève pour aller me rincer la bouche. Devant la glace, je me dis que je suis une sacrée salope, je viens de sucer mon propre fils, tellement je suis en manque ! J’ai éprouvé un réel plaisir en faisant cela, mais je suis à présent tiraillée par la culpabilité. Je retourne me coucher et voilà qu’à peine allongée dans le lit, il me saute dessus littéralement, il m’écrase, cherche à m’embrasser et je sens sa bite toujours aussi dure sur mon bas ventre. Je le repousse fermement et lui dis : jwrjtm « Mais enfin Eric, calme toi ! Si ...