Hélène et le garçon (4)
Datte: 28/08/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... tu es doux avec moi, je serai gentille avec toi ». Ces mots l’ont calmé d’un coup. Il reprend sa place et je lui saisis la main pour la poser sur mon sein. Mais il serre au point de me faire mal. « Doucement ! Sois doux avec une femme, je vais te montrer ! » Et de m’effleurer le mamelon avec sa paume à me faire frémir. Je sens mes seins durcir et mes tétons s’ériger à chaque passage de la main que je guide. Je la ramène vers mon cou, mon oreille, ma nuque. « Maman, euh Hélène, je veux t’embrasser, tu m’autorises ? » «Euh oui, tu veux que je t’apprenne ? » Je pose mes lèvres sur les siennes et viens chercher sa langue. Il apprend très vite à répondre et j’ai des frissons partout de ce baiser, comme pour la première fois. Après de longues secondes, je lui souffle : « Enlève ma chemise de nuit !» Il est un peu maladroit, mais je l’aide à me découvrir. Il est totalement subjugué de voir enfin ma poitrine, il porte sa main dessus et me caresse agréablement cette fois. Quant à moi, j’ai mis ma main entre ses jambes et lui frôle les testicules. Je n’ignore pas son membre encore tendu à l’extrême. Quelle vigueur il a ! « Suce moi les tétons, oui comme ça ! Passe ta langue ! Tète comme un bébé, oui c’est bien ! Caresse moi !». Je mouille atrocement, comme c’est bon ! Je quitte ma culotte et il jette un ...
... coup d’œil ébahi sur ma toison, mais il n’a pas le temps d’admirer que je le tire à moi afin qu’il vienne entre mes jambes écartées. Son sexe impatient bute sur mon périnée. Je l’enjoins à m’embrasser à nouveau pendant que je le guide vers mon antre ouvert. Ca y est ! Il entre en moi ! Il s’enfonce, me perfore et bute sur mon utérus tellement il est long. « Moins profond, mon chéri ! Oh, tu es si grand ! Vas-y lentement au début, après fais ce que tu veux ! » Il y va lentement et les mouvements de bassin que je fais, associés à mes mains sur ses fesses, permettent de trouver le rythme qui me convient. Il apprend vraiment vite et s’adapte à mes besoins. Il m’embrasse et je le sens bien coulisser en moi. Il me pistonne de plus en plus vite et je sens monter la fièvre de l’orgasme, je veux que ça dure longtemps, mais mon corps est impatient et je me mets à soupirer, à geindre, à hurler. Surpris, mon fils s’arrête mais d’une pression sur ses fesses, il comprend qu’il doit poursuivre. Je suis chavirée, explosée, déchirée, une bite énorme me pourfend. J’en veux… Oui, j’en veux encore ! J’éclate alors du plus grand orgasme de ma vie. Non, jamais je n’ai joui comme ça ! Lui à giclé dans mes profondeurs en même temps ou presque. Il veut se retirer mais je le maintiens en moi et l’attire pour un autre baiser.