1. Fermez les parenthèses


    Datte: 26/06/2019, Catégories: fh, fhh, fplusag, piscine, Oral pénétratio, fsodo, jeu, extraconj,

    ... dans ma chambre, mais cela aurait été un signe de faiblesse. J’avais dépassé ce stade ; je voulais et je ne voulais pas. Pourtant… Mes cuisses resserrées, c’est ma main qui faisait office de cache-sexe, de ceux que la pudibonderie a fait peindre, feuilles de vignes chastes qui cachent le sexe des hommes et la fente des femmes. Mais cette main était un contact, même s’il était familier, qui dérangeait. La main ne pouvait se retenir de se crisper, cachant par son dos le secret de ce qui se passe. La paume en sentait la douceur ! Les doigts en sentaient la tiédeur, et un majeur audacieux constata que la fente ruisselait. Alors, sans demander l’autorisation, les cuisses s’ouvrirent, mon corps se cala au creux du fauteuil. Je me caressai. Je me caressai comme je le fais de plus en plus souvent maintenant. Sous le regard de Nils pour l’exciter, dans mon lit si Jean est parti sans s’occuper de moi, dans ma baignoire, dans l’eau chaude et odorante. Le plaisir demande le plaisir. Depuis que j’ai un amant, si je sors de ses bras satisfaite, mon corps réclame bientôt de nouvelles caresses. Un comble ! « Alors Juan, si tu veux me regarder, regarde. Déjà que vous m’avez stoppée alors que ma poitrine en voulait plus, alors maintenant, quoi que vous disiez, quoi que vous fassiez, je vais me caresser pour atteindre le plaisir. Ma main est autonome. Elle sait ce que mon corps réclame. Enfoncer des doigts dans ma grotte pour en tester la souplesse et le "gras" de ce que je libère. Tapoter ...
    ... mon clitoris pour l’exciter. Le frotter de gauche à droite, de bas en haut pour le branler. C’est bon. Putain, que c’est bon ! Mais si je me caresse un téton, je sens que l’autre est sollicité… » J’entrouvris les yeux et constatai que Nils était venu me rejoindre. Sa bouche joua avec la mienne mais descendait déjà vers ma fente. Mes cuisses reposaient maintenant sur les accoudoirs du fauteuil qui me servait littéralement de couche tellement j’étais lovée dans sa souplesse. Nils me suçait comme il le fait si bien. Il glissa en moi des doigts agiles qui me firent du bien mais il sut aussi exciter mon petit trou de la langue avant de le prendre aussi. C’était bon. Juan voulait me voir. Il me voyait. Moi je le fixais du regard alors que Nils me menait au plaisir. Je croisais le regard de ce garçon et cela m’excitait encore plus. Je le captais, et telle une sirène l’obligeais à suivre dans mes yeux tout le bien que son copain me faisait. Il ne fallut pas bien longtemps pour que ma jouissance vienne. Je me forçai à garder les yeux ouverts. C’était bon. Cela me rappela l’été dernier sur la plage avec mon mari alors que les voyeurs se rapprochaient pour profiter du spectacle. Mais aussi un plus audacieux que les autres qui était si près que j’aurais pu le toucher. Sa présence m’avait subjuguée. « Et toi, Juan ? Pas besoin de me répondre : j’ai bien vu que tu as discrètement commencé à te branler. La nuit va être difficile alors que Nils et moi aurons rejoint notre couche ! » Nils est ...
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