Fermez les parenthèses
Datte: 26/06/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
piscine,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
extraconj,
... gambergeais. Mais j’ai commencé à perdre. Soutif ! Culotte ! Je me retrouvai comme eux. La chance allait bien me revenir ! Non, je perdis encore ! Encore ! Parfois c’était Nils qui avait le meilleur jeu, parfois c’était Juan. Les premiers gages n’étaient coquins que parce que nous étions nus : « Embrasse Juan dans le cou. Le cou, la joue. Suce l’oreille ; sur le nez… » Chaque fois je devais me lever, faire le tour de la table basse et faire mon gage à un des garçons. Un moment je repris espoir : si je ne gagnais pas, je ne perdais pas non plus, donc ce n’était pas moi qui devais honorer le gage. Juan força Nils à lui embrasser les fesses ; je ris aux éclats. Nous riions beaucoup, mais la guigne retomba sur moi et l’ambiance changea. Le baiser était sur la bouche. Je dus passer ma main sur le torse de Juan, puis de Nils. Je voyais bien qu’ils ne me quittaient plus des yeux. — Caresse-toi la poitrine. C’est le gage que m’infligea Nils. J’allais protester. Nils adore que je me caresse devant lui. Cela l’excite, et je dois reconnaître que moi aussi car je sais que de mon spectacle il va me revenir chaud bouillant. Mais il y avait Juan. Nils me sourit. Je compris qu’il était fier de montrer à son ami que sa maîtresse était toute à lui. Je m’exécutai. Pour me concentrer et oublier la présence de Juan, je fermai les yeux. J’étais en sueur et mes seins perlaient d’humidité. Je ne l’avais pas remarqué avant, mais il faisait chaud dans le salon et l’alcool avait ajouté ses calories. ...
... J’aime ma poitrine. Malgré l’âge et les maternités, elle est restée assez ferme. Je commençai par poser mes mains sous chaque sein et commençai une lente remontée. Chaque lobe fut enveloppé puis la paume frotta sur le téton qui ne sut pas se retenir. Plusieurs fois je répétai le mouvement. Ma poitrine gonflait. Mes tétons pointaient. Ils réclamaient plus d’attention, plus de concentration. Je commençai par me saisir de chacun entre deux doigts pour les étirer… — C’est bon. Reprenons. J’ouvris les yeux. Je tombai sur le regard de Juan qui détourna les yeux. C’était drôle, il semblait plus embêté que moi. Mais je savais pourquoi : il bandait et ne pouvait cacher son érection. Je souris car je n’étais pas mécontente de l’avoir troublé. Je perdis à nouveau. C’est Juan qui a gagné. À lui de dire le gage. Il semblait hésiter. Il se pencha vers Nils et lui parla à l’oreille. — C’est le jeu. C’est toi qui décides, lui dit Nils en réponse à manifestement une question. Juan hésitait encore. — Ton gage est que tu te caresses.— Mais je viens déjà… Je ne comprenais pas. Nils sourit. Il précisa : — Il veut que tu te caresses la chatte. Je ne suis pas la Vénus de Botticelli qui cache son intimité avec ses mains et ses cheveux. Ma poitrine était plus que connue par ces deux hommes, mais mon intimité, la vraie, celle qui se cache entre mes cuisses, Juan ne la connaissait pas, du moins pas vraiment. Juste un regard, une ombre, rien de précis. Bien entendu que j’aurais pu dire non et me réfugier ...