Six "sions" pour une scission. (4)
Datte: 28/06/2019,
Catégories:
Transexuels
... moins ce dernier plaisir. » Je trouvais cela étrange, mais bon, j’allais le laisser seul, je lui devais bien cela. « Alors merci, pour m’avoir fait prêté les sous-vêtements de votre femme, le premier soir où je vous ai rencontré. Merci de m’avoir fait découvrir le plaisir sexuel en tant que femme. Merci de m’avoir fait découvrir que je serais plus heureuse dans la peau d’une femme… — Continue… me dit-il de sa voix toujours aussi assurée. — Merci de m’avoir fait découvrir le plaisir d’être soumise, le plaisir de vous appartenir… — Tout le plaisir était pour moi, vous allez bien vous entendre avec Lucille, je n’en doute pas. Toi, la soumise, et elle… la soumise également. — Comment cela, lui demandai-je ? — Enfin petite sotte, tu sais très bien que Lucille a été ma soumise durant de nombreuses années, et qu’elle est toujours soumise avec ses amants. — Non, je… — Et qu’elle ne couche quasiment qu’avec des hommes, m’interrompit-il, qui plus est des hommes bien virils et dominateurs. Mais je ne me fais pas de soucis pour toi. Si tu arrives progressivement à lui plaire en tant qu’homme, au moins au lit, tu pourras la contenter. Tu as une queue, tu lui plairas. » Le silence s’empare de la pièce alors que je suis en pleine réflexion… Et s’il disait vrai ? Et si Lucille voulait que je la domine ? Que je la fasse jouir avec ma queue ? Que je sois son amant viril, et non son amante ? « Non, je n’y crois pas une seconde, répondis-je à Monsieur, d’une voix pour le moins hésitante. — Tant ...
... mieux ! En admettant que j’aie tort, tu seras heureuse avec elle. Il te suffira simplement de prendre ton pied sans sucer de queue et sans te faire sodomiser. Je sais que tu y arriveras. Après tout, tu ne fais pas partie de ces salopes, dignes de ce nom, qui se jetteraient sur la moindre queue qui leur ferait face… Une queue comme celle-ci, par exemple, ne t’attire pas spécialement. » Et il déboutonna son pantalon qu’il descend jusqu’à ses chevilles, découvrant ainsi sa queue déjà droite comme un « i ». Je restai figée, le regard ciblant ce membre que je ne verrais plus. Ma respiration devenant de plus en plus saccadée, mon souffle irrégulier et de plus en plus audible n’échappait pas Monsieur, dont j’entrevoyais un rictus satisfait. Il me tenait, et le savais. « Je dois y aller, Lucille m’attend. — Je ne te retiens pas, dit-il, tout en se caressant la verge. » Je me dirigeai vers la sortie, lorsqu’en passant à côté de Monsieur, il m’empoigna les fesses de ses deux mains. Je me stoppai net. Je pensais à Lucille, que je voulais rejoindre, mais impossible de bouger. Mon corps agissait à l’encontre de mes paroles. « Non, lâchez-moi, c’est Lucille que je veux voir, dis-je d’une voix tremblante, alors que je commençai à cambrer sans même m’en rendre compte. » Je sentis alors son corps se coller au mien. Sa main droite empoigna alors mon sein gauche. Il s’agissait certes de faux seins, mais la virilité de cette poigne se fit sentir dans tout mon corps, et lorsque je sentis sa queue ...