1. Six "sions" pour une scission. (4)


    Datte: 28/06/2019, Catégories: Transexuels

    ... entrer en contact avec mes fesses, je perdis définitivement tout contrôle, et me jetai sur mes genoux, face à cette queue que j’engloutis à pleine bouche. J’étouffais, je pleurais presque, mais je ne lâchais cette queue inondée de salive, que pour reprendre brièvement ma respiration. Ce n’était pas une fellation que je qualifierais de sexy. Je ne cherchais pas à croiser le regard de Monsieur, je ne m’attardais pas à la parcourir avec ma langue. Non. C’était une vraie pipe d’affamée. Monsieur me porta alors jusque sur le lit, où il me plaça à quatre pattes, et introduisit sa queue dans mon cul, sans ménagement, d’un coup sec. Je hurlai de plaisir. De la douleur ? Probablement, mais je n’en ai pas le souvenir, tant prédominait le plaisir d’être défoncée par un homme viril, par mon homme, par mon maître. « Aaaaah hum… oui ! oui ! — Chienne ! Tu es à moi ! Rien qu’à moi ! — Ouiiii ! Je suis votre chienne. » Quand soudain : ‘Tuuut !… Tuuut !’ Deux coups de klaxon retentirent à l’extérieur. Mon Dieu ! Lucille, je l’avais complètement oubliée. « Prends ça salope ! Han ! Han ! Tu aimes te faire défoncer ! — Oui j’aime ça ! Encore ! — Tu veux voir ta future conjointe platonique, me dit-il, tout en continuant ses coups de boutoir ? — Hum… Ouiii ! euh… non !… je ne sais pas ! oooh ouiii !! » Contrairement aux apparences, aucune indécision dans ma réponse. Je ne souhaitais qu’une chose : que la queue de Monsieur ne quittât jamais mes entrailles. Monsieur se leva et me jeta la face ...
    ... contre la fenêtre de sa chambre. Il s’appuya de tout son poids sur moi, et j’étais là, debout, littéralement écrasée face à la fenêtre, lorsqu’il me pénétra de nouveau, debout derrière moi. Sa main droite me serrant la gorge, tandis que l’autre appuyait sur mon ventre, comme pour mieux assurer la redescente de mon bassin sur sa queue après chaque coup que celle-ci m’assénait. Lucille apparut alors, dehors, adossée à la voiture, qui m’attendait. Elle nous aperçut, à la fenêtre, en pleine action. Je la vis se décomposer, puis aussitôt courir vers la maison. Elle fit immédiatement irruption dans la chambre et s’écria : « Lâche-la, Robert, c’est du viol ! — Comme tu veux, ma jolie, lui répondit Monsieur. Je te la laisse. » Et Lucille, en pleurs, se jeta alors sur moi, me prit dans ses bras, et tenta de me rassurer : « C’est fini, Jess, je suis là. Partons d’ici. — Je suis désolée, Lucille, lui répondis-je. » Je lançai alors un regard vers Monsieur, me mis à quatre pattes à même le sol, comme si les deux secondes qu’il m’aurait fallu pour rejoindre le lit eurent été une éternité insurmontable, et il comprit immédiatement que j’étais toute à lui. Il reprit alors sa sodomie, plus lentement qu’auparavant, mais avec une puissance ravageuse dans chacun de ses coups de reins. Sans doute voulait-il se laisser le temps, entre chaque aller-retour, de faire passer un message : tsmtppju « Elle est à moi ! — Oui, je suis à vous, repris-je, surexcitée !! — Ta gueule, sale chienne, on ne t’a pas ...