1. Sonia, voisine bafouée (1)


    Datte: 28/06/2019, Catégories: Hétéro

    ... bouche qui m’avalait, et de cette langue qui titillait chaque centimètre de mon sexe, et de ces mains qui caressaient ma peau. Seulement je sentais le plaisir grimper en flèche, et je n’avais pas l’intention de trop me laisser aller non plus. J’étais sur le point de dire à Sonia d’arrêter et de me retirer, quand son téléphone portable posé sur la tablette à côté de canapé s’est mis à sonner. Elle m’a regardé en suçant mon gland, et s’est tout de même décidée à aller répondre. Il s’agissait visiblement de son mari, à en croire la conversation. J’en ai profité pour l’admirer et l’ai trouvée très belle, à moitié nue, indécente, les lèvres encore luisante de salive. Je me suis avancé vers elle, tandis qu’elle parlait froidement de factures et des courses qu’elle avait faites, de ce qu’elle avait trouvé et pas trouvé au magasin. J’ai embrassé son ventre en la regardant. Elle m’a jeté un regard un peu surpris, mais a simplement posé sa main dans mes cheveux en continuant à parler. J’ai déboutonné son jean et l’ai tiré le long de ses jambes, puis j’ai embrassé le haut de ses cuisses, et le contour de son slip en dentelle blanc. Je n’ai pas réussi à me retenir plus longtemps, cependant. J’ai écarté le bout de tissu sur un côté pour pouvoir admirer ce qui se cachait en-dessous, ses lèvres épilées, et la petite touffe brune sur son mont de Venus. Là non plus, je n’ai pas pu résister. J’ai embrassé son sexe et l’ai léché et l’ai sucé, je savourais son goût, son jus, sucré-salé, mes ...
    ... mains sur ses cuisses et ma langue sur son clitoris. Je la sentais qui frissonnait, et pourtant elle continuait à parler à son mari comme si de rien n’était. _ Oui... Oui mon chéri, à tout à l’heure, a-t-elle fini par dire avant de raccrocher et de poser son téléphone sur la tablette à nouveau. Elle a alors poussé un long soupir en tenant ma tête plaquée entre ses cuisses et m’a dit : _ Mon mari rentre d’ici une heure. On a le temps, et j’aimerais que vous me baisiez. Malgré ma langue sur son clitoris et deux doigts à l’orée de son vagin, Sonia continuait de me vouvoyer. Je n’arrivais pas à l’expliquer, mais ce décalage la rendait plus vicieuse encore et désirable. Alors je suis rentré dans son jeu. _ Avec plaisir, ai-je répondu. Je vais vous baiser sans relâche jusqu’à ce que votre mari revienne. Je me suis relevé d’entre ses jambes en tenant mon sexe bandé entre mes doigts, et l’ai posé contre sa fente. Je l’ai regardée, elle avait ce sourire qui disait "Allez-y!", alors j’y suis allé, j’ai glissé mon gland en elle, puis le reste, lentement, mais entièrement. Sonia a écarté ses jambes et les a relevées pour me sentir passer en elle autant que possible. Puis elle a attrapé mes fesses et m’a dit d’y aller plus fort. Une vraie furie. Je me suis exécuté avec plaisir et ai j’y suis allé sauvagement, mes bourses claquant contre ses fesses, une main sur sa hanche, l’autre empoignant son sein. Tout son corps tremblait, et Sonia, agrippée aux coussins du canapé, poussait de petits cris ...
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