1. Le jardin de la rue George


    Datte: 28/06/2019, Catégories: Première fois

    Il y a 42 ans de cela, je venais de rentrer du service militaire. J'avais 20 ans. J'avais trouvé un petit appartement tout pourri dans la rue George à Marseille, en face de la caisse de retraite. Je venais de renouer avec ma famille. Mon appartement était séparé en deux par le couloir d'entrée. D'un côté, ma chambre et le coin cuisine, de l'autre, une chambre noire. Mon frère m'a demandé d'héberger une de ses copines. Toujours prêt à rendre service, j'ai accepté. Il m'a dit qu'elle travaillait la nuit et qu'elle rentrerait le matin. Moi, j'avais trouvé un travail de chauffeur livreur pour une lunetterie. Comme nous n'avions pas les mêmes horaires, il était convenu que nous ferions un double des clés de l'appartement pour elle. Le matin, elle me réveillerait pour le petit déjeuner pour moi et le diner pour elle. Ca a bien fonctionné pendant une quinzaine de jours. Elle ne devait pas avoir plus de 18 ans. Elle était jolie et bien roulée. Quinze jours après son arrivée, le cinéma a commencé. Elle est venu prendre son repas, vêtue seulement d'une culotte et d'un sous-tif, couverte d'un déshabillé transparent. La semaine suivante, elle enlevait le haut. Ses seins étaient magnifiques. La semaine d'après, ce fut le bas. Putain, quel cul ! Elle s'assit en face de moi et me regarda fixement : - Qu'est-ce qu'il y a ? demandai-je. - T'es pédé, t'aimes pas les femmes ? fit-elle. - T'es la copine de mon frère. Qu'est-ce que tu veux que je fasse. Bien sûr que tu me plait, je me paluche ...
    ... tous les soirs, depuis que tu es là. - Ah oui ? Et là tu bandes ? - Oui ! - Fais voir ! Je me suis levé et j'ai baissé mon pantalon et mon slip. Elle s'est précipité vers moi, s'est agenouillée et a embouchée ma bite. Sa bouche était chaude et sa langue experte. Elle suçait ma bite comme un enfant tête sa mère. La vue de ses lèvres autour ma queue m'excitait au plus haut point. Sa langue pointue soulignait la base du gland, m'arrachant des soubressauts. Quand elle a lèché la petite fente, j'ai joui dans sa bouche. Elle a tout avalé. Puis, elle s'est relevée, et est venue s'empaler sur moi. Sa chatte était aussi chaude que sa bouche. Ses mouvement de bas en haut, m'ont arraché une nouvelle giclée. Elle a attendu que je me calme un peu, puis s'est relevée. Elle s'est couchée sur le ventre, en travers de la table et a soufflé : - Prends -moi le cul ! Je ne me suis pas fait prié. Quand ce fut fini, j'ai demandé : - Tu vas le dire à mon frère ? - De quoi t'as peur ? Qu'est-ce que tu crois que je fais la nuit ? Je suis pas la copine de ton frère, je tapine pour lui ! Si tu lui dis rien, il saura jamais ! J'ai été surpris par cet épisode, parce que depuis pas mal d'années, j'avais déjà remarqué que je plaisais plus aux garçons, qu'aux filles. D'ailleurs la suite va le prouver. Un jour, j'ai perdu mes clefs. Les téléphones portables n'existaient pas encore. J'ai été obligé d'attendre qu'elle rentre. A cette époque, il y avait encore des bancs publics, dans la rue George. Un peu en ...
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