Le jardin de la rue George
Datte: 28/06/2019,
Catégories:
Première fois
... colère, je suis allé m'asseoir. Très vite, un homme est venu s'asseoir près de moi. Pour le dissuader de m'entreprendre, je me suis déplacé sur un autre. Il m'a rejoint, immédiatement. En ce temps-là, je faisais largement plus jeune que mon âge, et le gars m'a pris pour un ado perdu. - T'habites le coin ? me demanda-t-il. Je n'ai pas répondu. Je me suis levé pour m'éloigner. Le gars m'a suivi. Un peu plus loin, il m'a rattapé et m'a poussé vers une haie de buissons. Jamais, depuis que j'habitai là, je n'avais remarqué cet endroit. Deriière les buissons, des cyprès chachaient à la vue des passants, un petit jardin, qui se révéla être un lieu de rencontre gay. Le gars posa sa main sur mon cul et appuya sa caresse. Il avait touché le point sensible. Que ce soit un homme ou une femme, caresser mon cul est pour l'auteur une promesse de victoire. Je me suis laissé faire. Il m'a déshabillé entièrement, m'enlevant jusqu'aux chaussettes. Il m'a tiré, et m'a plaqué, à poil, contre un arbre. Il m'a pris les bras et les a enroulés autour du tronc. Il s'est baissé et a écarté mes fesses. J'ai alors senti sa langue qui lubrifiait mon petit trou. J'ai compris qu'il allait m'enculer. Ma queue s'est raidie. Le gars l'a sentit et l'a empoignée. - T'aimes ça, hein, petite salope ! Tu parles, ça a commencé au collège. Les caresses sous le bureau, les fellations pratiquées à la demande de mes camarades de classe. Il faut dire qu'à cette époque je ressemblais vraiment àux gravures ...
... représentant les éphèbes grecs. Mon corps était plutôt gracile et mon cul rond et bombé. Depuis longtemps, j'avais remarqué les regards en dessous de mon confesseur et de mes profs. Le gars s'est relevé, a écarté mes fesses et j'ai senti sa pine me chatouiller. D'une violente poussée, il s'est enfoncé en moi d'un seul coup. J'ai eu un peu mal. - Putain, t'es serré ! Eructa-t-il. Je vais me régaler. Il est ressorti de moi et m'a retourné. Il m'a fait mettre à genoux et a présenté son chibre à mes lèvres. J'ai ouvert la bouche et mes lèvres se sont écrasées sur les poils de son pubis. Il a pris ma tête entre ses mains et a m'a imprimé le mouvement des ses hanches. - Quand je te le dirais, tu reprendras la position. Je veux jouir dans ton cul, pour mieux t'enculer. Effectivement, quand il fut au bord de la jouissance, je me suis relevé, et il s'est de nouveau dans mon cul. Il a joui immédiatement. J'ai senti les soubressauts de son engin et les gouttes brûlantes de son sperme, coulant dans mon cul. Il s'est alors agité. Ses cuisses heurtaient violemment mes fesses. Son sexe avait grossi, et ses coups de boutoirs me labouraient le cul. Il prit le mien et j'ai joui dans sa main. Quand il eut fini, il se dirigea vers le banc ou se trouvaient mes vêtements, me les lança et disparu. Je suis retourné plusieurs fois au petit jardin. Des hommes me saluaient. - Bonjour, petit ! Me lançaient-ils, avec des petits sourires narquois. Mais, jamais plus je n'ai été entrepris.