Dans le bois derrière chez moi, il y a...
Datte: 29/06/2019,
Catégories:
fh,
hh,
voisins,
vengeance,
Oral
pénétratio,
hsodo,
confession,
... ?Celui qui gémit alors que je gobe son gland ? Celui qui doit mater sa femme et se dire qu’il a joué et qu’il est en train de perdre ? Que s’il l’appelait maintenant il passerait pour un mari jaloux, alors que lui fait bien pire.Ou bien celle qui se fait un devoir de gober le plus long possible de ce bâton dont elle s’est emparé ? Celle qui salive pour faire encore plus salope, montrant son expérience, même si c’est d’habitude sur la bite maritale ? Oui, montrant combien c’est excitant ce bruit de gorge, ces filets de salive qui se tendent, ces couilles qu’elle lèche comme des bonbons.Tu vois bien, mon chéri ? Attends ! Je me tourne un peu. C’est bon comme cela ? Tu me vois bien de profil ? Tu vois bien la queue de ton amant que ton cul connaît si bien ? Et mon visage contre son ventre ne laissant qu’une partie de son mandrin que ma gorge ne peut accepter malgré mes efforts ?Tu entends, mon chéri ? Ton Romain qui m’encourage de la voix ? Tu es blasé, mais pas moi. Entendre ses soupirs ! Sentir son ventre qu’il pousse vers moi ! Sentir ses mains sur ma tête qui cherche à me forcer un peu plus ! Et ses « Oui ». Ses « Encore ». Ses « Comme ça ».Tu sais, mon chéri, eh bien c’est bon ! Sa bite est différente de la tienne. Son gland un champignon si délicat qu’un coup de langue suffit à le faire vibrer. Sa hampe toute droite alors que la tienne est légèrement courbée. Ses couilles moins grosses.Tu es content de moi ? C’est toi qui m’as tout appris. Tu te souviens au début mes ...
... fellations « brouillon » ? Tu as su me guider. Tu te souviens de la première fois où je t’ai gardé jusqu’à la fin, comme j’étais fière de recevoir ta semence, de la garder. Et puis aussi…Oh… Je le sens venir. Je connais maintenant les signes avant-coureurs. Cette crispation du ventre, cet appui plus fort sur ma tête comme si je voulais me sauver et le refuser.Mais tu m’as appris à ne pas bouger, juste refermer mes lèvres sur le sillon entre gland et hampe. Pour le reste j’ai appris « sur le tas ». Utiliser ma langue pour cueillir le foutre qui jaillit, attendant le jet suivant comme…Oh… ton amant est généreux. Si ses couilles sont moins grosses que les tiennes, elles sont cependant bien garnies. Voilà, le torrent se calme. Pour le reste, comme je le disais je l’ai appris en « pratiquant ». Abandonner le gland en refermant les lèvres. Surtout ne pas oublier le regard vicieux vers lui. Avaler avec un sourire. Parfois, mais je trouve que cela fait vraiment vulgaire et putain, montrer le foutre avant de le boire.Tu vois mon chéri, je ne t’oublie pas. As-tu bien vu ma langue capturer quelques gouttes qui voulaient s’échapper de mes lèvres. As-tu bien vu mon regard dans la direction de la caméra afin que tu constates que je moi aussi je peux être cochonne. Ton Abi te suce-t-elle aussi bien ? Et ton amant, Romain, c’est toi ou c’est lui qui pompe l’autre ? — Quand je pense que Gaël te disait coincée. Le salaud, il voulait te garder pour lui seul. Mon amant. Notre amant commun retrouve sa ...