Dans le bois derrière chez moi, il y a...
Datte: 29/06/2019,
Catégories:
fh,
hh,
voisins,
vengeance,
Oral
pénétratio,
hsodo,
confession,
... sourire de satisfaction ! Cette poitrine que je sais maintenant artificielle et qui ne se répand pas comme la mienne. Ce dard qui semble sans fin, qui m’ouvre comme jamais et enfin le repos au contact de ses hanches.Je la chevauche, immobile, étonnée de ce que je fais, de ce que je vois.Mon dieu si on me voyait ! Si quelqu’un entrait à l’improviste ! Les enfants, pour nous faire une surprise. Ils ne seraient pas déçus ! Quand je pense que nous avons essayé de leur donner une éducation, non pas stricte, mais avec la conscience des valeurs.Ils verraient leur mère assise sur une autre femme. Assise… On peut dire ça si on ne regarde pas bien. Mais si on est plus attentif on verrait que cette mère bouge, se tortille, pire se soulève et… mais oui… à ce moment-là ils ne pourraient pas ne pas voir cette excroissance que les deux femmes se partagent. Mais il y a pire. Ils verraient leur père qui regarde ce spectacle. Un père nu qui bande, comme bande cet homme qui est leur voisin. Deux hommes qui semblent complices, qui se parlent à l’oreille. Ils verraient aussi leur père s’agenouiller et venir pomper la bite du voisin. Il le fait de bon cœur avec envie. Il suce une bite.Mais pas que. Alors que leur mère se fait du bien, nul ne peut en douter aux soupirs et gémissements qu’elle ...
... pousse, une mère qui garde un œil sur son mari qui pompe un mec, ces spectateurs que la décence et la morale refusent d’être les enfants, pour n’être que des voyeurs. Oui, pourquoi pas de simples passants, démarcheurs qui sont entrés et nous regardent. Je chasse cette idée incongrue et dérangeante de nos enfants voyeurs, pour des anonymes. Ils seraient moins dérangés du spectacle que nous leur offrons.Gaël a cessé de sucer son amant pour se placer tout près de moi en salope qui va se faire prendre par son amant. Cette bite luisante de salive et que j’ai connue pas plus tard qu’il y a… Oh, mon dieu… moins d’une heure. Une bite que je vois se glisser dans le cul de mon homme comme si c’était une évidence. Une bite qui ne fait pas dans le détail et qui s’active avec force. Je vois les grimaces de mon mari. Je vois le sourire de celui qui le laboure.Une évidence… Une jouissance partagée par un regard complice. Nous sommes seuls au monde, Gaël et moi. Couple solidaire, mais désormais libertin. Abi se vide dans ma chatte. Son mari ne tarde pas à honorer le mien de sa crème que je connais maintenant.Le vice est avec nous. Alors que je me redresse, je fais un calcul rapide.Mon mari !Romain !Abi !Je suis la seule, la seule vraie femme et j’imagine déjà ce que ces vicieux peuvent faire de moi.