Dunes
Datte: 30/06/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
grossexe,
vacances,
plage,
volupté,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
... balbutie-je avec nervosité. Péniblement, j’ai réussi à me relever et à m’enrouler dans ma serviette sous son regard magnétique. Tout mon corps est parcouru de soubresauts incontrôlables. Je ramasse mon sac de plage et je suis sur le point de tourner les talons quand je vois cet homme mûr me saisir l’avant-bras. Son contact électrique n’est aucunement brutal, mais d’une fermeté qui ne me permet pas de me défiler. Un faible cri s’étrangle dans ma gorge. Il sourit, tout simplement, sûr de lui. J’ai envie de me rebeller, de lui signifier que je n’ai pas d’ordre à recevoir d’un inconnu… Mais, devant cette poigne d’acier, je ne sais comment me dérober. Il me regarde toujours avec une telle intensité, un regard…farouche… mais rempli, non de bestialité, mais de sauvage puissance. Des yeux tout simplement hypnotiques qui me commandent de ne pas résister, de me soumettre à sa volonté de mâle dominant. Son regard est insoutenable, alors je baisse imperceptiblement les yeux. Malgré la trouille qui m’envahit, je ne peux m’empêcher d’admirer son torse puissant contre lequel j’adorerais m’endormir. Je rougis à cette idée. Un ventre parfait, pas trop de tablettes de chocolat, ce type a une anatomie parfaite, sans verser dans le culturisme. Plus bas, son sexe amorce son repos, je regarde, fascinée, cette tige puissante s’amollir tout en douceur et souplesse. Le feu aux joues, je détourne la tête : dans quelle situation me suis-je fourrée ? C’est alors que je constate une chose étrange, on ...
... dirait que la nuit arrive déjà. C’est impossible, je n’ai quand même pas dormi autant ? Il faudrait que je regarde l’heure sur mon téléphone portable qui est dans mon sac, mais je suis comme pétrifiée à ses côtés, on dirait que, seul, mon cerveau a un semblant d’indépendance. Je réalise qu’il est toujours nu. Dans le crépuscule naissant, il ressemble à ces statues grecques que j’ai maintes fois vues dans les musées que je fréquente régulièrement, puisque j’ai fait "Lettres Classiques" option "Antiquité". J’aime lire un texte d’époque sous la colonne d’un temple ou face à une statue. Comme je n’ai pas toujours les moyens d’aller en Grèce ou dans le sud de l’Italie, je me contente de prendre un abonnement dans les musées. Mais là, je ne suis plus dans un musée et ce n’est plus une statue qui est face à moi dans toute son éclatante et sculpturale nudité. Je m’aperçois que, même au repos, son engin est… attractif… Il s’approche de moi, m’attire en même temps à lui. Dieu ! que je me sens si petite à ses côtés ! Je suis comme détachée, flottante, ma raison me hurle de foutre le camp tout de suite, mon désir me dit de rester. Il se plaque à moi, son bras puissant contre mon dos, sa main au creux de mes reins, son corps brûlant m’électrise sans retour. Ses lèvres se sont fougueusement emparées des miennes, sa langue s’immisce dans ma bouche avide et je sens bien vite ses doigts farfouiller mon intimité, s’insinuer sournoisement entre mes cuisses, se frayer leur chemin entre mes lèvres ...