1. Dunes


    Datte: 30/06/2019, Catégories: fh, inconnu, grossexe, vacances, plage, volupté, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio,

    ... intimes qui deviennent rapidement poisseuses à leur contact insistant. Je suis perdue dans les caresses sauvages, mais oh ! combien troublantes et excitantes de cette statue vivante. Je ferme les yeux. Doucement, il me fait pivoter, sans quitter mes lèvres de sa bouche vorace. Mon dos plaqué à présent contre son large torse, mes fesses consentantes moulent sans vergogne son pieu raidi. Son autre main se glisse sur mon sein droit, le pinçant et le tirant délicatement. Ça y est, je perds complètement les pédales, le septième ciel est tout proche, si proche, trop proche. Pas la peine de résister, je suis comme une marionnette qu’il agite, qu’il manipule au gré de son bon plaisir. Moi, je suis debout, sans aucune résistance, sans m’insurger, délicieuse victime de ses caresses ensorcelantes. Sa main malaxe mon sein avec fermeté. Chaque parcelle de mon corps est sollicitée, mes sens s’affolent, jamais je n’ai ressenti quelque chose d’aussi intense ! Tout n’est que douceur, frissons, délice… Entre les mille et une vagues de plaisir qui m’inondent, j’entrouvre les yeux… L’horizon lointain est rouge sang, la chaleur des dunes monte, enveloppe mon être en fusion. Mon corps est parcouru d’incontrôlables tressautements de plaisir. Je sens l’extase monter en moi, inexorablement, comme une grande vague qui s’élève puissamment et qui menace de se fracasser contre les rochers déchiquetés d’une côte sauvage. Des doigts farfouillent mon vagin moite tandis que mon clitoris turgescent est ...
    ... habilement tourmenté par des doigts faméliques et vicieux. À chacune des délicates tortures infligées, mon bassin se soulève dans une onde de choc complètement délirante. Je ferme à nouveau les yeux. C’est comme si mon corps en tant qu’entité charnelle n’existait plus, comme s’il était devenu pur plaisir, une sorte de halo irradiant d’exaltation brute. Une longue et sourde plainte s’échappe de ma gorge. Quelque chose de dur et doux glisse entre mes fesses, lentement vers le bas ; mon cœur bondit : je le veux en moi, sans aucune forme de procès. J’imagine une tige énorme qui veut s’insérer à l’orée de ma fente dégoulinante, ma grotte qui s’apprête à être fouillée de fond en comble. Mon corps n’est plus qu’une corde tendue à se rompre, tous mes muscles sont en contraction, une chaleur intense déferle en moi. Il n’est pas encore en moi que déjà je sens un feu interne qui me dévore. Tout l’horizon est rouge sang, l’air ambiant vrille de mille étincelles qui papillotent autour de moi. Un long et dur serpent glisse entre mes fesses, s’accroche à l’intérieur de mes cuisses et cherche visiblement un antre où aller exploser. Cette chose perverse et brûlante laisse un sillon sur ma chair frémissante, effleurant à présent mon buisson embrasé. Tout mon corps est cabré, prêt à l’accueillir, à ce qu’il plonge en moi, au plus profond, au plus lointain. Il cogne à l’orée de ma grotte humide, sa masse fuselée écarte doucement mes lèvres détrempées et avides de sa chair tendue, lèvres qui se ...
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