1. Sylvie me comble


    Datte: 30/06/2019, Catégories: fhh, hagé, couplus, extracon, cocus, voisins, laid(e)s, jardin, fsoumise, chantage, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral init, confession, cocucont, fsoumisah,

    Ma femme : Sylvie, objet de mes fantasmes, vingt-sept ans, très jolie, brune, les yeux bleus, un caractère plein de retenue et un corps de sportive, une poitrine raisonnable qui attire souvent mes mains. Moi, Jérôme, son mari qui aimerait (depuis longtemps) la voir se dissiper et profiter enfin de son corps avec d’autres que moi ; elle acceptait de temps en temps de dévoiler à des copains le haut de ses cuisses ou leur laisser deviner ses seins nus sous des tee-shirts transparents ou entrevoir avec des corsages bien ouverts, mais rien de plus. J’en voulais davantage. Alors j’ai concocté un plan qui a marché au-delà de mes fantasmes ! J’ai invité pour l’apéritif un voisin que j’avais un peu « chauffé » sur ma femme, par plaisir purement vicieux, désirant la voir se dévoiler aussi à cet homme. Il était seul ce dimanche. C’était un homme de cinquante-huit ans, bedonnant, à moitié chauve, de grosses lèvres sous sa petite moustache, l’air particulièrement vicieux, les yeux toujours à l’affût d’un coin de chair féminine nue, et doté d’un caractère particulièrement autoritaire. J’avoue que je le trouvais laid ! Mais bon, il nous avait déjà rendu service en nous fournissant de la viande à prix exceptionnel, étant livreur – bientôt à la retraite – dans une société de distribution alimentaire. J’avais convaincu Sylvie de ne mettre que sa petite robe très courte, très légère et d’une transparence certaine, avec un grand décolleté, qu’elle mettait seulement quand nous étions avec ...
    ... des amis (je ne lui avais jamais dit qu’elle était beaucoup plus transparente qu’elle ne le pensait). J’avais eu du mal quand même car elle avait remarqué les nombreux coups d’œil insistants de monsieur F. (appelons-le comme ça) sur son corps ; cela l’avait troublée. Elle le trouvait d’un abord vraiment repoussant. Elle avait quand même accepté, sur mon insistance, mais à contrecœur en mettant un soutien-gorge très sage. Je lui parlai de F. en plaisantant sur son « charme » relatif (!), lui vantant les services qu’il nous avait rendus très gentiment, et son empressement auprès d’elle. Je la trouvais un peu énervée ; à cause de cette invitation, peut-être ? Ou de mes propos sur lui et de ce que je lui demanderais de faire pour mon plaisir ? F. arriva enfin. Il la prit dans ses bras et lui fit la bise ; je vis qu’il l’embrassait sur la commissure des lèvres. Cela m’excita déjà un peu. Les banalités d’usage furent échangées et, tous les trois assis devant la table en verre transparent du jardin, nous discutions de choses et d’autres. Elle était super bandante, son corps moulé dans cette robe ! Je remarquai que F. louchait souvent sur les cuisses nues, et surtout sur sa poitrine ; mais il n’y avait pas grand-chose à voir : elle avait mis un soutien-gorge opaque alors que je lui avais proposé d’en mettre un transparent, ce qu’elle m’avait refusé tout net. Elle avait remarqué son regard appuyé et semblait un peu troublée ; je lui trouvai le teint un peu coloré et les yeux un peu ...
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