1. Sylvie me comble


    Datte: 30/06/2019, Catégories: fhh, hagé, couplus, extracon, cocus, voisins, laid(e)s, jardin, fsoumise, chantage, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral init, confession, cocucont, fsoumisah,

    ... Il avait compris à ce moment qu’il avait une chance inespérée). Il lui demanda si elle était heureuse d’être dehors seule avec lui et avec si peu de vêtements. Elle lui répondit : — C’est lui qui le veut.— Bien sûr ! Une si jolie femme comme vous avec un corps superbe qui donne envie d’en faire plus… Il se leva et vint derrière Sylvie, lui entourant les épaules ; il se pencha et l’embrassa sur la bouche. Elle fut surprise et eut un mouvement de recul, mais ne se déroba pas et accepta le baiser du vieil homme. Sans quitter sa bouche, elle se leva et le serra dans ses bras. Il lui saisit un sein qu’il sentit durcir entre ses doigts. Elle ne bougea pas, la bouche collée sur la sienne, semblant prendre plaisir aux attouchements du vieux porc. Enfin, elle dit : — Viens là-haut ; j’ai quelque chose pour toi. Ils montèrent dans la chambre attenante à la mienne. J’avais laissé la porte de séparation entrouverte et je les vis face à face. Aussitôt dans la chambre, il l’attira contre lui et reprit le baiser, la langue introduite profondément dans la bouche de ma femme. Elle s’écarta légèrement de lui et dit : — Je dois te sucer. Elle se mit à genoux devant lui et ouvrit son pantalon, qui tomba à ses pieds. Le gros ventre blanc du vieux sortit ; il descendit son slip et une petite bite toute molle se présenta devant le visage de ma femme. Elle n’osait la prendre (je sus plus tard qu’elle sentait très fort l’urine). Il saisit sa queue et la promena sur la figure de Sylvie. — Allez, ...
    ... prends-la, ma petite ; nettoie-la. Elle la prit entre deux doigts, approcha sa bouche et passa la langue dessus. L’agitant un peu, elle dit d’une petite voix : — Elle est molle ! Je ne t’ai pas excité ?— Tu sais, à mon âge, c’est plus dur pour bander longtemps : il va falloir que tu suces. Et d’abord, lève-toi ! Je constatai un changement important dans son attitude, un ton très ferme. Je sentis qu’elle se laissait dominer. Elle obéit et se releva. Il saisit sa robe qu’il lui ôta, la mettant nue devant lui. Le corps de ma femme apparut, ses seins blancs et la toison noire de sa chatte tranchant sur la peau bronzée. Le maillot de bain deux pièces avait délimité et protégé ses parties intimes ; elle n’avait jamais voulu se mettre nue au soleil dans le jardin ni ailleurs. C’était réellement la première fois qu’elle était intégralement nue face à un autre homme que moi. Je sentis F. excité. Il lui dit d’une voix forte : — Depuis le temps que je te connais et que je voulais te voir toute nue… Enfin je te tiens ! Il lui saisit les seins et les tripota fébrilement, brutalement, pinçant très fort les tétons, lui arrachant un cri de douleur. Il prit un sein dans sa bouche et le téta lentement ; je vis le visage de Sylvie s’illuminer de plaisir. Elle lui pressa la tête contre sa poitrine. Il s’écarta un instant après. Il palpa tout son corps, descendit une main jusqu’à sa chatte où il introduisit violemment un gros doigt après qu’elle eût largement écarté les cuisses, ce qui me surprit de ...
«1...345...»