Vacances, sexe et exhib. (15)
Datte: 30/06/2019,
Catégories:
Erotique,
... tente de deviner Élodie. C’est ça, hein ? — Chuut… Surprise ! — De toute façon nous avons le temps ; profitez de la piscine, conclut Pat. Nous passons tout l’après-midi au soleil à bronzer pour le plus grand plaisir du voisin, celui qui me mate avec son tuyau au travers de la haie. Nous nous baignons, histoire de se rafraîchir un peu. Le temps passe. Impatiente, je trouve le temps long, très long. Enfin le signal de se préparer est donné. Une douche, et il faut s’habiller. Pour moi ce sera robe bustier, string et escarpins ; « C’est parfait. » me dit Pat. Tout le monde est prêt ; les filles en robe bustier aussi, coiffées, lunettes de soleil. Je leur fais remarquer qu’elles ont l’air de vraies Parisiennes en vacances. Un seul « Pfutt ! » comme réponse, et nous partons en voiture. Nous n’arrivons pas à savoir où l’on va. Tatiana finit par nous dire que nous allons dans un parc aquatique à Aubagne, sauf que là on est en direction de Marseille par la côte, tout à l’opposé. De toute façon, je n’insiste pas car j’aime les surprises, mais je suis malgré tout impatiente car nous n’avons rien de particulier à fêter, et pour un repas de départ, en général nous faisons au plus simple. Nous arrivons au port de Marseille, nous nous stationnons au parking de la Joliette et nous flânons dans l’avenue du nom du parking. Mon attention est attirée par une robe dans la vitrine d’un magasin de vêtements chics. J’interpelle les filles ; mon chéri continue son chemin. — Vous avez vu la robe ? ...
... Comme elle est beeelle… Mon chéri, viens voir ! En clair, cela veut dire : j’aimerais bien l’avoir. Pat revient sur ses pas. — Tu as vu la robe comme elle est belle ? Mais il n’y a pas le prix. — Entre, on va demander. Nous entrons. Le commerçant nous accueille avec un joli sourire commercial. — Bonjour, Messieurs-dames ; je peux vous aider ? — Oui. La robe en vitrine, là, elle est à combien ? je demande. — Désolé, Madame : elle est vendue, et je n’en n’ai plus. Mais vous pouvez la passer, si vous voulez ; je vais peut-être pouvoir en avoir d’autres. — Vas-y, essaie-la ; je suis certaine qu’elle va t’aller. Monsieur, faites-lui essayer ! demande Élodie. — Pas de problème. Il va chercher la robe, pliée sur son bras. — Attends, Julie, j’ai une idée : on te la passe, et tu ne la verras que quand elle sera bien mise. OK ? suggère Tatiana. — OK ! Je n’ai pas fini ma phrase qu’elle me met un bandeau sur les yeux. Je proteste. Comme réponse, j’ai droit à un « Chut ! » et à un doigt sur la bouche. J’ai le pressentiment que la surprise, je vais l’avoir sur le dos d’ici peu : une robe en vitrine sans prix, c’est interdit. On m’entraîne je ne sais où. Je sens ma robe bustier glisser le long de mon corps ; je suis en escarpins et en string, pour une fois que j’en mets un. J’espère que nous sommes un peu à l’abri des regards. Je sens un tissu passer sur ma tête et descendre le long de mon corps. Il est léger, doux ; je le sens à peine. On me passe un tissu derrière la nuque ; je suppose que ...