Ma petite voix m'a dit
Datte: 30/06/2019,
Catégories:
ff,
extracon,
profélève,
intermast,
Oral
ecriv_f,
... contenu. Elle met sa main sur la mienne. Viens, me dit-elle. Elle sait. Peut-être les anglos saxons sont-ils moins coincés que nous autres, je n’ai jamais encore fait l’amour avec une femme. Et il m’aurait été difficile de faire le premier pas. Les plaisirs de Saphos ne m’ont jusqu’ici jamais attiré. Ou plus exactement, jamais je n’aurais pensé être attirée par une inconnue jusqu’à en être malade de désir. Un désir irrépressible. Je me laisse conduire chez elle. Elle habite au 4ième. Nous montons dans l’ascenseur, vous savez, ces petits ascenseurs étroits qui sont posé dans les cages d’escalier. Elle est si proche de moi que je vois sa carotide palpiter sur son cou. Elle est en prise à une émotion aussi importante que la mienne. Je me serre contre elle et je bloque l’ascenseur entre deux étages. Je l’embrasse comme si ma vie en dépendait. Comme si elle était mon oxygène. Ma bouffée d’air. Je pose mes lèvres sur les siennes et mes mains sur ses hanches. Et elle me roule le patin du siècle. Sa langue s’insinue dans ma bouche, elle est fraîche et délicate. Hésitante, elle devient hardie et exploratrice. Je ne suis pas en reste. Combien de temps sommes-nous restés dans cette cabine ? je l’ignore. Je remets en marche l’ascenseur des délices. Il nous faut plus, plus d’espace, plus de chair, plus de tout. Elle prend ses clés dans son sac. Je ne sais même plus si j’ai le mien. Je plane. Et elle repasse sa main dans ses cheveux. Je la dévorerais sur le champ. Nous ne parlons plus. Nos ...
... corps parlent pour nous. Elle commence à dégrafer son chemiser. Ses seins sont comme deux grosses poires prisonnières d’un soutien-gorge en fine dentelle. Je m’approche pour les libérer. Elle a une peau magnifique légèrement bronzée avec un grain très fin et je dois avoir les yeux abasourdis par tant de grâce et de beauté. Elle est divine. Elle pose ses mains sur mes hanches et fait glisser mon petit pull au-dessus de ma tête. Ariane, c’est son prénom. Elle mesure 1.70 m, elle a un corps de rêve, des longues jambes sportives, des fesses à se damner. Le visage fin et des yeux bleus en amandes. Et moi, qui suis-je ? Je m’appelle Gaëlle, je suis son portrait en brune, yeux marron. Je n’en peux plus, je suis au bord de l’orgasme. Nous voila par terre sur le tapis du salon, Je défais son jean et passe ma main dans l’échancrure de son string. Si j’avais un doute sur son désir ! je n’en ai plus. Je découvre sa grotte finement surmontée d’un fin duvet. J’approche mes lèvres et commence à la caresser. Son clitoris est déjà gonflé à l’extrême. « Fais moi jouir » me dit-elle, je vais mourir sinon. Ô ma belle, je l’emmène vers un orgasme fulgurant. Les voisins ont du se demander ce qui ce passait…Elle récupère doucement pendant je lui caresse les cheveux. Ils sont tissés avec des fils d’or comme sa toison. Nos lèvres se soudent, elle me murmure qu’elle va s’occuper de moi maintenant. Elle me plaque le ventre au sol, se met sur moi et commence à me dévorer les fesses. Elle me retourne et ...