1. Rouge et noir


    Datte: 29/08/2017, Catégories: fffh, douche, volupté, hsoumis, fdomine, BDSM / Fétichisme Oral hgode, uro, sm, donjon, attache, baillon, gifle, fouetfesse, init,

    ... un petit coup sur les chaussures ! Le fétichisme des pieds était une de mes limitations, d’ailleurs pas forcément fondée, et Lucie m’avait convaincu en me précisant qu’elle veillerait particulièrement à la propreté de cet endroit. Le côté " crado " mis à part, je n’avais plus de raisons de refuser, même si ça ne m’emballait pas des masses. Je m’exécute donc, sans y apporter trop de zèle. La chaussure droite terminée, je vais passer à la gauche quand je m’aperçois qu’elle s’est déchaussée, et qu’elle m’enfonce son pied toujours gainé de nylon noir dans ma bouche. Là encore, je bouge vaguement ma langue sur ses orteils qui, dieu merci, sentent plus le gel douche que… les pieds, justement. Lucie est satisfaite, et c’est Anaïs qui m’appelle ensuite : — Viens faire pareil avec mes bas ! Elle est assise dans le canapé aux côtés de Chloé et Valentine. Je me relève gauchement - j’aimerais vous y voir, avec les bras attachés -, peu émoustillé par la perspective de lécher encore du tissu sur sa longueur de jambes interminables, mais curieux de pouvoir au moins admirer sa culotte, sous sa courte jupe plissée. N’ayant rien vu de plus dénudé jusqu’alors que le bas d’un mollet de Lucie (qui a tout de même réussi à me faire jouir sans rien me montrer de son anatomie et, rendons-lui justice, avec un contact physique minimal), c’est une perspective tout de même plus agréable. La langue glisse moins bien sur les collants opaques rouge et noir de Dame Anaïs que sur ceux de Lucie, mais ...
    ... l’objectif de ma maîtresse me paraît différent. M’agrippant par les cheveux, elle passe rapidement sur ses mollets, puis ses genoux, puis sa cuisse, m’entraînant vers un endroit de son anatomie que nul sous-vêtement ne protège ! Quand enfin ma langue, qui commence à se dessécher sérieusement, quitte l’étoffe râpeuse pour rencontrer un morceau de peau douce, je m’exclame : — Hé, c’est plus les bas, là ! Son regard bleu s’attarde longuement sur moi, mi-sévère, mi-amusé, puis elle me gifle légèrement sur la joue avant de replonger ma tête entre ses cuisses. Je hume profondément l’odeur entêtante qui s’exhale de la petite touffe de poils pubiens sur laquelle mes narines sont écrasées, avant de tâter le terrain du bout de la langue. Les mouvements du bassin qui s’ensuivent m’engagent à continuer, tandis que je savoure le musc qui s’écoule de sa grotte intime. Pour tout dire, je trouve cette tâche beaucoup plus gratifiante, à hauteur de mes capacités, et mon sexe recommence à grossir peu à peu. Dame Anaïs a une crispation soudaine, enferme ma tête entre ses cuisses comme dans un étau, un flot de cyprine jaillit de ses lèvres pour atterrir dans les miennes, tandis que j’entends un long gémissement étouffé. Quand je ressors à l’air libre, Anaïs tire sur sa jupe pour tenter de reprendre un peu d’allure, mais l’extase que je lis dans ses grands yeux bleus encore vitreux m’indique qu’elle a dû prendre un sacré pied, ce dont je puis tirer une légitime fierté. Pendant qu’elle reprend ses esprits, ...
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