Rouge et noir
Datte: 29/08/2017,
Catégories:
fffh,
douche,
volupté,
hsoumis,
fdomine,
BDSM / Fétichisme
Oral
hgode,
uro,
sm,
donjon,
attache,
baillon,
gifle,
fouetfesse,
init,
... Lucie et Chloé m’empoignent chacune par un bras et m’amènent vers un coin de moquette vide, avec des mousquetons accrochés dans le sol. En veillant à ce que je n’en profite pas pour m’échapper, projet que les ongles effilés de Chloé ne me donnent pas envie de réaliser, elles me détachent et m’allongent sur la moquette avant de me ligoter à nouveau, les bras en croix et les jambes écartées, avec juste assez de mou pour que je puisse détendre mes muscles. La tête levée, j’observe leurs gestes, me demandant à quelle sauce je vais être mangé. — Il est à toi, termine Lucie en s’adressant à Valentine, une fois le bondage terminé. Valentine est, je l’avais dit, la plus somptueuse, mais sa toilette n’est absolument pas adaptée à quoi que ce soit d’autre que la station assise - et certainement pas le canoë-kayak, mais là n’est pas la question. — Bien, il est temps que le vilain garçon reçoive le reste de sa punition ! On ne salit pas impunément les belles robes des dames ! Son français est quelquefois tarabiscoté et teinté d’un fort accent anglais, elle doit être en France au titre d’un programme d’échanges. Pour marcher vers moi, elle soulève entre le pouce et l’index de ses deux mains sa lourde jupe pourpre, comme l’aurait fait une dame du XIXe siècle. Décidément, ces filles savent se tenir, adopter la posture nécessaire dans les moindres détails, pour passer du statut d’étudiantes tout juste adultes à celui de princesses lors d’un bal de la Cour. Derrière, j’aperçois avec plus ...
... d’inquiétude Anaïs qui lui porte une baguette noire longue d’un mètre et ressemblant fortement à une badine. — Tu vas te tenir bien sage, d’accord ? me dit-elle avec une affection qui me donne aussitôt des frissons d’angoisse. Soudain, un grand voile pourpre me recouvre la tête et le haut du corps, et je vois son entrejambe, nu lui aussi, se coller sur mon visage. Elle vient de s’asseoir sur moi, ses cuisses enserrant ma tête, le vagin collé contre ma bouche, et j’imagine sa lourde jupe de velours étalée en corolle autour d’elle. Ouf ! Ce n’était que ça. Mais la cravache, alors ? J’en reçois le premier coup sur la cuisse gauche, à l’endroit où la peau est extrêmement sensible (je le sais, je vise cet endroit depuis suffisamment longtemps pour en connaître les effets ). Il n’a pas été porté avec une très grande force, mais il m’arrache tout de même un cri de surprise et de douleur. Elle agite son sexe au-dessus de ma bouche de façon éloquente, avant de me demander d’une voix qui me parvient presque totalement étouffée : — Fais-moi plaisir… Alors que, partout ailleurs, la production pornographique est constituée presque exclusivement de blondes peroxydées et vulgaires, au corps aussi lisse et inintéressant qu’un châssis de voiture et qui enchaînent les partouzes ad nauseam, sur fond d’une musique techno insipide, et en glapissant des immondices telles que " je veux sentir ta grosse bite dans mon cul ", " défonce-moi bien " et " suce-moi sale chienne ", dans l’univers des MP une ...