Rouge et noir
Datte: 29/08/2017,
Catégories:
fffh,
douche,
volupté,
hsoumis,
fdomine,
BDSM / Fétichisme
Oral
hgode,
uro,
sm,
donjon,
attache,
baillon,
gifle,
fouetfesse,
init,
... qui la société n’ira jamais procurer d’occasions de s’évader. — La rébellion de cet esclave n’a que trop duré ! explose soudainement Anaïs. Ce qu’il a suggéré à mon égard tout à l’heure ne peut pas être toléré, et il faut sans plus tarder lui montrer de façon cuisante qui nous sommes ! En même temps qu’elle prononce ces paroles semblant sorties d’un autre âge, elle arbore un martinet de cuir noir que je n’avais pas encore vu dans la pièce. Elles ont réussi à transformer le donjon en vraie boîte à surprises. — Nous allons t’administrer un châtiment exemplaire ! termine-t-elle, ses yeux lançant des éclairs de rage réellement bien imités.— Mais..— Suffit ! Qu’on le bâillonne, je ne veux plus entendre ses lamentables suppliques. Incrédule, je vois Lucie se pencher devant moi, remonter sa jupe pour en extraire une culotte de dentelle noire ornée d’une large tache d’humidité, et me la fourrer sans ménagement dans la bouche. La scène a été si rapide que je n’ai même pas pu distinguer nettement son intimité, fantasme qui me taraude depuis le début de ma captivité. Me voilà maintenant incapable d’articuler le moindre mot, ne pouvant que sortir des sons inintelligibles, avec sur la langue le goût de la culotte trempée, mélange de sécrétions vaginales et de sueur qui excite mes papilles comme un vin capiteux. [ Petit point de règlement, qui est assez draconien dans les cas où le soumis ne peut prononcer le mot de passe : elles ont librement le droit de me faire subir toutes les ...
... pratiques que j’ai préalablement autorisées, mais elles en prennent la responsabilité. En clair, si j’estime qu’elles ont abusé de moi sans que je puisse rien faire, même si j’étais d’accord sur le principe du bâillon, je peux porter plainte contre elles, et elles seront, au mieux, virées de l’association. Des cas comme ceux-ci sont extrêmement rares mais, lorsqu’on atteint, au sein d’une MP, dix ou vingt séances de SM par jour entre des gens qui ne se connaissent pas forcément, une législation volontairement dure permet de prévenir tout débordement et d’assurer à chacun un plaisir conforme à ses envies. ] N’empêche, j’ai beau savoir tout cela, je ne fais pas le fier, j’appréhende vraiment ce qui va m’arriver, et je vais regretter bien vite la gentille fessée de Lucie. Avec le martinet, elles peuvent se permettre de taper comme des brutes sans avoir mal aux mains, et sans que ce soit dangereux pour moi : j’espère donc qu’elles sauront se contenir, et j’espère surtout que je pourrai adopter l’attitude d’Amélie qui, entre deux cris de douleur, me demande de la fouetter encore plus fort. Shlac ! Le premier coup a été administré de main de maître(sse), et les lanières s’écrasent sur mes fesses avec un grand bruit, m’arrachant un grognement. Je compte mentalement les coups : deux, trois, quatre… la douleur va crescendo, de même que la sensation de chaleur, et pourtant ce n’est que le début ! Après une vingtaine d’impacts, Anaïs passe le martinet à Lucie, puis retourne s’asseoir dans le ...