Rouge et noir
Datte: 29/08/2017,
Catégories:
fffh,
douche,
volupté,
hsoumis,
fdomine,
BDSM / Fétichisme
Oral
hgode,
uro,
sm,
donjon,
attache,
baillon,
gifle,
fouetfesse,
init,
... canapé, me regardant avec un sourire cruel. Inconsciemment, je considère Lucie comme la Dame la plus laxiste, et je m’attends à une session reposante. Bien au contraire ! Avec une sévérité inouïe, elle abat l’instrument sur mon derrière en feu tandis que je serre les dents de toutes mes forces sur la culotte, afin de ne pas crier. Parfois, les lanières me frôlent à peine, et juste après suivent trois coups assénés à la volée, qu’elle fait suivre d’un petit rire de gorge, clair et joyeux, qui a l’air de démentir la méchanceté avec laquelle elle vient de me punir. — Ça fait mal, n’est-ce pas ? me demande-t-elle au détour d’une pause, en caressant tendrement la zone sinistrée. Tu as les fesses toutes rouges… ça t’apprendra à prendre tes maîtresses pour des idiotes. Mais je ne désespère pas de faire de toi un gentil garçon, poli, bien élevé et attentif à nos désirs. Tu promets d’être sage, désormais ? J’acquiesce avec un grognement. — Je n’ai pas bien entendu… on dit " oui, Dame Lucie, je promets d’être sage " ! Au stade où j’en suis, j’accepterais bien volontiers de dire n’importe quoi, mais comment veulent-elles que je puisse articuler quoi que ce soit ? Elle interrompt mes borborygmes avec un ton désolé : — Je crois que notre jeune ami n’a pas encore compris la leçon. Dame Chloé ? Je crois que c’est votre tour, désormais. Mes muscles se raidissent, tandis qu’une sueur froide commence à couler le long de mon dos. J’ai trop mal, mon postérieur me brûle atrocement, et je n’ai ...
... aucun moyen d’apaiser mes souffrances. Pour tout dire, je me passerais volontiers de la punition de Dame Chloé, que je pressens comme étant à son image : impitoyable et cuisante. Pourtant, je ne peux nier que mon sexe soit toujours fièrement dressé, et plus avide que jamais d’expulser son venin blanchâtre. Chaque fois que le fouet a touché ma peau, des petits picotements de plaisir m’ont parcouru et, quand ça ne suffisait pas, j’imaginais Dame Lucie, arborant son petit air espiègle, rassembler les lanières du martinet dans sa fine main avant de prendre appui sur une jambe et de se lancer vers l’avant, pendant que, mus par l’élan, les plis de sa jupe venaient frotter sur ses bas, ne laissant rien entrevoir du duvet sombre et suintant qui s’humidifiait à mesure que ma peau rougissait et que le sourire extatique de la jeune femme s’agrandissait… Une rafale de trois coups très rapprochés, appliquée avec une précision diabolique, vient cingler le haut de mes cuisses tandis que Dame Chloé commence son ouvrage. Elle connaît bien son affaire, mais à mon grand soulagement mise plus sur la vitesse et la précision que sur la puissance proprement dite, ce qui n’empêche pas la punition d’être particulièrement cuisante, surtout après le passage d’Anaïs et de Lucie. Pour détourner mon attention de la douleur, je prépare déjà mentalement ma revanche : je persuaderai Chloé d’être ma soumise à l’occasion d’une soirée, et alors là ! Je prendrai l’instrument le plus redouté de mon arsenal, une ...