1. Rouge et noir


    Datte: 29/08/2017, Catégories: fffh, douche, volupté, hsoumis, fdomine, BDSM / Fétichisme Oral hgode, uro, sm, donjon, attache, baillon, gifle, fouetfesse, init,

    ... engourdis. — Tu as soif ? me demande-t-elle du tac au tac.— Non. La première gifle n’a pas été appliquée fortement, elle est juste là pour rappeler qui commande. — Tu as soif ?— Non. La grande Anaïs se penche à nouveau vers moi pour me gifler du revers de la main, un peu plus fortement cette fois. — Tu as soif ? insiste-t-elle.— Oui, réponds-je, pince-sans-rire . Le comique de la situation nous fait tous les deux sourire malgré nous et, un court instant, la façade sévère et impitoyable de la dominatrice se fissure, révélant la femme que je ne connais pas encore, mais qui paraît pourvue d’un solide sens de l’humour. En m’agrippant par les cheveux, elle approche ma bouche de son sexe, relevant de l’autre sa courte jupe et, dans un instant, une autre de mes vieilles limitations va sauter. L’argument que Lucie avait utilisé pour me convaincre était qu’Anaïs allait boire beaucoup dans la journée ; l’urée était si diluée que le goût désagréable et acide allait quasiment disparaître, et au final, cela reviendrait à boire de la flotte. Va pour la flotte, m’étais-je dit. Pour la seconde fois dans la soirée, je suis agenouillé sous la jupe d’Anaïs, mon nez collé sur ses grandes lèvres. Je la sens se détendre, et soudain une cataracte de pisse jaillit dans ma bouche ouverte avec une puissance folle, dégoulinant ensuite sur tout mon corps. — Bois-moi ! m’intime-t-elle. Tant bien que mal, et avec tout de même une certaine réticence, j’avale quelques gorgées du breuvage, dont le ...
    ... goût est effectivement très peu marqué. Mais l’odeur est enivrante et, après tout, quoi de plus naturel qu’une femme vous urine dessus ? J’ai moi-même fait cela des dizaines de fois, plus dans le souci de dominer psychologiquement ma partenaire que par goût. Dans certains pays aux mentalités moyenâgeuses se prétendant démocratiques, la sodomie est interdite, tout comme la vente de vibromasseurs. D’autres encore interdisent la diffusion de films pornographiques sous des prétextes plus ou moins fallacieux. Tout est fait pour isoler la sexualité dans un cadre aseptisé de plus en plus restreint. Avec fascination, je vois la source intarissable déverser sur moi des hectolitres d’urine parfumée, et je m’enhardis maintenant, par jeu, à essayer d’en boire le plus possible alors que mon excitation atteint son paroxysme. Les bas rayés rouge et noir d’Anaïs contre lesquels mon torse est collé sont trempés, sa jupe qu’elle relève maladroitement de sa main libre s’interpose parfois entre le jet d’urine et ma bouche, mais elle n’en a cure. Pour elle aussi, l’excitation monte de façon vertigineuse ; nous sommes ici depuis un temps indéterminé, mais certainement très long et, si la fatigue ne se fait pas sentir, l’envie de finir en apothéose, dans une explosion de jouissance commune, nous taraude furieusement. À peine ses besoins terminés, Anaïs me prend par la main et m’entraîne vers le milieu de la pièce, où convergent les autres Dames. Je suis dans un tel état que je ne saisis même pas ...
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