1. Rouge et noir


    Datte: 29/08/2017, Catégories: fffh, douche, volupté, hsoumis, fdomine, BDSM / Fétichisme Oral hgode, uro, sm, donjon, attache, baillon, gifle, fouetfesse, init,

    ... l’incongruité d’un tel geste, déplacé de la part d’une Maîtresse envers son petit protégé, mais terriblement touchant de la part d’une jeune fille invitant un jeune garçon au plaisir. Je m’allonge sur le sol et aussitôt Anaïs s’accroupit au-dessus de mon visage, lâchant par surprise un dernier jet doré, avant de frotter son sexe humide, où perlent encore quelques gouttes d’urine, contre ma langue que j’active furieusement dans la fente étroite et brûlante. Chloé et Valentine, pendant ce temps, se sont placées au niveau de mon bas-ventre, et elles ont pris en main de très experte façon ma virilité triomphante. Tandis qu’Anaïs ne tente même plus d’étouffer ses gémissements de plaisir et accompagne mon cunnilingus de deux de ses doigts, arrive alors Lucie, ravissant ange noir que je regarde, incrédule, s’avancer vers mon bas-ventre et saisir des deux mains, entre le pouce et l’index, l’étoffe légère de sa jupe au niveau des cuisses, découvrant ainsi le galbe de ses jambes prisonnières de leurs bas. Elle m’enjambe et vient finalement s’empaler avec une lenteur calculée sur mon sexe dressé, en poussant le petit soupir d’extase d’une duchesse dégustant un mets particulièrement raffiné. Le plaisir commence à rugir dans mes entrailles, mais Lucie me chevauche lentement, faisant durer à dessein le moment dantesque que nous vivons tous. Des dominateurs ou dominatrices dits professionnels, ailleurs, feraient payer leurs séances un prix exorbitant, en précisant bien que toute relation ...
    ... sexuelle est interdite, comme s’il était déplacé d’avoir du plaisir avec quelqu’un qu’on vient de faire courir pendant une heure avec un collier et une laisse, comme si on voulait frustrer même ceux qui veulent vivre pleinement leur sexualité. Mes maîtresses ne prennent pas d’argent, pas plus que je n’en prends. Nous passons juste un moment merveilleux ensemble, dans le respect d’autrui, en ayant ensemble toutes les relations que nous voulons avoir, et peut-être qu’une prochaine fois, les rôles seront inversés. Je n’échangerais cette liberté pour rien au monde. Tout s’enchaîne très vite, et je perds pied peu à peu. Seules des sensations confuses parviennent encore à mon cerveau gonflé de plaisir. Mes quatre amies se pressent contre moi, je sens la chaleur de leurs corps, et leurs vibrations se propagent à travers le mien. Leurs mains se promènent partout, tantôt caressantes, tantôt espiègles, s’amusant à exciter les endroits les plus incongrus de mon anatomie. De temps à autre, dans un froissement de jupes, ces demoiselles sollicitent ma bouche avant d’exploser, dans un orgasme titanesque ponctué de cris et de soupirs comblés, déchargeant leur liqueur dont je suis si friand. Avec une maîtrise incroyable, Lucie masse mon sexe enfoncé en elle jusqu’à la garde avec ses muscles intimes, prolongeant mon plaisir bien au-delà de ce que je croyais possible. C’est une avalanche de sensations, un maelström de contacts, de sons, d’images tourbillonnantes et d’odeurs, tandis que quatre ...