Rouge et noir
Datte: 29/08/2017,
Catégories:
fffh,
douche,
volupté,
hsoumis,
fdomine,
BDSM / Fétichisme
Oral
hgode,
uro,
sm,
donjon,
attache,
baillon,
gifle,
fouetfesse,
init,
... perspective de me faire claquer le postérieur par quatre charmantes demoiselles me mettrait dans cet état, j’aurais changé de branche tout de suite. Mon seul regret est d’avoir plus d’une semaine à patienter. Ça risque d’être difficilement tenable, mais tant pis, Amélie en fera les frais, je me défoulerai un peu sur elle pour passer mes nerfs. Et je parie qu’elle adorera ça. Je passe délester ma vessie avant de rentrer chez moi mais, sitôt arrivé devant la porte des toilettes, une jeune fille me prend la main et m’entraîne dans une autre direction. Ça, c’est un truc courant à la MP : une nana en manque d’uro qui rôde dans le couloir et accoste le premier qui fait mine d’aller soulager un besoin naturel… pour qu’il lui pisse dessus. Je ne suis moi-même pas franchement attiré par ce genre de pratiques, mais si ça peut rendre service… La fille en question est une blonde plantureuse, bien en chair sans exagérations, et à peine vêtue d’une brassière blanche et d’une minijupe noire. Sans un mot, elle entre dans une cabine de douche qui, bien évidemment, est suffisamment grande pour accueillir quatre personnes. On est dans une MP, pas à la piscine ! Elle n’ôte que ses baskets et va s’agenouiller près du trou d’évacuation, la tête tournée vers moi et la bouche grande ouverte, dans l’attente de ma liqueur. Je m’efforce de penser à autre chose afin d’éviter l’érection intempestive - pas évident ! - et, calmement, je sors Popol et entreprends de me satisfaire sur cette fille que je ne ...
... connais ni d’Eve ni d’Adam. Ailleurs, désespéré de ne trouver personne avec qui coucher, Bruno décide d’avoir recours aux services d’une prostituée. Pour ses cent cinquante euros, il espérait avoir l’amour en prime ; il n’obtient même pas un sourire et se retrouve sur le trottoir devant l’hôtel, persuadé que le plaisir lui restera à jamais inaccessible. Le liquide doré lui emplit rapidement la bouche en gargouillant, tandis qu’elle avale par petites gorgées, laissant le trop-plein s’écouler dans son corsage. Pensant bien faire, je dirige mon jet sur sa poitrine : le tissu blanc se teinte rapidement de jaune, moulant d’une élégante façon les deux imposants tétons aux pointes durcies. Continuant mon périple urologique sur son anatomie, je vise cette fois-ci la jupe noire que j’arrose abondamment. La demoiselle la relève de ses deux mains, indiquant ainsi sa culotte pour nouvelle cible. En un clin d’oeil, elle s’est elle aussi colorée et vient se coller contre son pubis, dont les poils apparaissent par transparence. Visiblement, mon urinoir a encore soif, car il se penche en avant, bouche ouverte, pour intercepter le jet. Dans la manoeuvre, ses cheveux sont généreusement aspergés, son dos aussi, et je ne parierais pas qu’aucune goutte n’a atteint ses chaussettes. Elle asperge goulûment mais, toute bonne chose ayant une fin, la source finit par se tarir, la laissant dégoulinante et bonne pour la douche - ou plutôt la machine à laver de la MP. — Merci, me fait-elle simplement en se ...