Rouge et noir
Datte: 29/08/2017,
Catégories:
fffh,
douche,
volupté,
hsoumis,
fdomine,
BDSM / Fétichisme
Oral
hgode,
uro,
sm,
donjon,
attache,
baillon,
gifle,
fouetfesse,
init,
... relevant. Abasourdi, je la vois se rapprocher de moi et me faire un rapide baiser sur la bouche. Il a goût d’urine. Pendant la semaine, j’échange encore avec les filles des coups de téléphone pour régler les derniers détails et réserver le donjon. Ce sera vendredi, à 23 heures, et je peux vous avouer qu’en me levant le matin de ce jour-là, je ne me sens pas très fier. J’ai même l’impression d’avoir été rarement aussi improductif à la fac, tellement des pensées extérieures m’obsèdent. Hier, la séance avec Amélie a été très réussie, tant pour elle que pour moi, et je commence à réaliser à quel point mes bonnes vieilles habitudes de dominateur commencent à être ancrées au fond de moi ; à quelques heures seulement de mon rendez-vous avec les trois demoiselles, j’ai du mal à imaginer ce que sera réellement l’inversion des rôles. Après un dîner vite expédié - je n’ai pas très faim -, je m’aperçois que j’ai encore du temps à tuer, et que mon excitation ne cesse de grandir, ainsi que mon anxiété. J’essaie d’ouvrir un livre avant de le reposer au bout de trois pages. J’ignore qu’au même moment mes maîtresses sont déjà à la MP, très en avance, en train de se préparer soigneusement. Finalement, c’est un bon footing qui me décrasse et aide à faire baisser ma tension et, une douche plus tard, l’horaire est suffisamment convenable pour partir pour la MP, un peu moins nerveux. Je ne cesse de me répéter que ce n’est rien, je l’ai déjà fait à beaucoup de filles et j’ai vu le faire de ...
... nombreuses fois via les caméras de la MP. Mais ce serait plutôt mon corps qui ne veut rien entendre et continue d’être mou, flageolant et tremblotant, comme une mamie parkinsonienne. Pas grand monde à la MP à cette heure, ils sont tous dans les chambres en train de terminer leur soirée, et il est rare qu’on la commence aussi tard. Au vestiaire, je me dénude intégralement avant de me diriger vers le donjon. Les costumes que voulait me faire enfiler Lucie étaient loin de m’emballer, et finalement ma fierté s’accordait beaucoup mieux avec la tenue d’Adam que d’un quelconque attirail clouté et autres strings en cuir. Arrivé devant la porte, j’inspire un bon coup, sans parvenir à calmer les battements de mon coeur, j’intime mentalement à mon membre de se calmer au moins quelques minutes et je frappe, trois fois. — Entre ! Entrer ? C’est bien la dernière chose que j’ai envie de faire ! Quand, soudainement, je me retrouve à l’intérieur, et n’en crois pas mes yeux. L’ameublement du donjon crée un univers assez particulier, entre les tentures pourpres, la moquette noire, les murs imitation pierre, et surtout les divers instruments d’entrave, chevalets, croix, poteaux, piloris et autres joyeusetés, disposés un peu partout, côtoyant également des canapés et fauteuils confortables. J’utilise assez peu cette pièce, que je trouve un peu trop théâtrale et grandiloquente à mon goût mais, en l’occurrence, elle est tout à fait appropriée. Ce sont surtout les hôtes de ce donjon, les quatre amazones, ...