Rouge et noir
Datte: 29/08/2017,
Catégories:
fffh,
douche,
volupté,
hsoumis,
fdomine,
BDSM / Fétichisme
Oral
hgode,
uro,
sm,
donjon,
attache,
baillon,
gifle,
fouetfesse,
init,
... qui accaparent toute mon attention. Elles se tiennent toutes les quatre face à moi, et se sont levées du canapé qu’elles occupaient pour m’accueillir. Dame Lucie, puisqu’il faut l’appeler ainsi, est méconnaissable : ce n’est plus une petite étudiante timide, mais une femme magnifique, tout de noir vêtue : une longue et ample jupe, dont les plis ondulent avec sa démarche, lui tombe jusqu’aux chevilles gainées également de nylon noir. Les trésors qu’elle tient inaccessibles en bas, elle les révèle plus largement en haut, où le décolleté laisse entrevoir la naissance de ses seins, qui sont somme toute d’une taille fort honorable. Enfin, un maquillage judicieusement appliqué lui confère une majesté dont je n’aurais jamais soupçonné la présence sur une femme si jeune et en apparence si enfantine. À sa gauche, Dame Anaïs que je reconnais grâce aux photos que j’ai vues d’elle. Ses cheveux blond foncé flottent librement derrière son dos et sur le haut noir transparent, à manches longues, orné de motifs noirs, qu’elle porte avec beaucoup d’élégance. Le reste apporte une touche plus originale : la jupe est bien courte, comparée à celle de la prude Lucie, et ses collants sont rayés horizontalement de rouge et de noir, tandis que ses interminables jambes aboutissent à une paire de docks noirs. Mais, ce qui frappe le plus chez Anaïs, c’est l’intensité de son regard bleu que l’on imagine volontiers rieur. Dame Valentine ( prononcer à l’anglaise ) est sans doute la plus somptueusement ...
... vêtue de toutes. Sa jupe de velours pourpre touchant le sol paraît, par son style, tout droit sortie de l’époque victorienne ; elle est surmontée d’un corset découvrant ses épaules dénudées et de longs gants dont le noir de jais tranche avec la pâleur de sa peau. Ses cheveux sont d’un brun très pur, rassemblés en chignon à l’arrière de son crâne, et tout dans sa physionomie respire l’aristocratie, la beauté la plus pure, la domination la plus absolue. Enfin, last but not least, Dame Chloé. Jeune métisse à la peau sombre, elle a opté pour un habillement simple mais qui fait son effet : elle est entièrement recouverte d’un haut de nylon noir qui souligne, au lieu de le cacher, le soutien-gorge de la même couleur. Noire aussi la jupe sage descendant jusqu’aux genoux - choix de prime abord curieux, mais qui s’expliquera par la suite - et les bottes de cuir. La peau de Dame Chloé contraste avec la pâleur presque diaphane de ses trois compagnes, mais elle ne la rend que plus désirable ; ses cheveux sont longs et ondulent légèrement sur ses épaules, tandis que son visage exprime une totale détermination. Aucune n’a le physique d’un mannequin, mais toutes quatre sont splendides, chacune à leur façon, par la simplicité ou au contraire l’extrême raffinement de leurs traits opalescents. En face de tant de beauté, je me sens honteux, désarmé ; je n’ai à leur offrir en retour que mon corps nu, peut-être un peu trop maigre, sans doute un peu trop grand, et la tête ébahie de l’ouvrier agricole ...