1. Souvenirs d'une autre vie (5)


    Datte: 01/07/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... s’embarrasse d’aucun préambule et ses lèvres se referment sur le bout turgescent de mon sexe. La pipe est royale, la bouffarde est magistrale et mes doigts impatients voudraient la fouiller. Seulement la position n’est pas évidente sur ce divan au cuir fauve. Au final je me dis et mon amie est bien d’accord, que nous serions mieux dans ma chambre, dans mon lit douillet. Une fois la décision prise, inutile de passer plus de temps à se faire un torticolis et nous filons dare-dare vers mon pieu. Mille précautions en passant dans le couloir et devant la chambre de ma mère. Cette fois-ci, les bruits ne seront plus vraiment étouffés. Si d’aventure elle dormait, ce n’est pas la peine de la réveiller. Aucune lumière ne filtre sous sa porte. Nous sommes désormais dans mon domaine. Cette piaule c’est toute mon enfance, c’est ma jeunesse et les souvenirs de mon père, de ma mère, des tas de trucs que nous avons faits ensemble tous les trois. Les photos de mes joueurs de foot préférés sont accrochées aux murs de bois. Ça sent le pin, la résine, ça sent ma vie quoi… Nos affaires sont reprises, là où nous les avons abandonnées sur le canapé. Les petits seins de ma belle me tombent sous la langue, ils sont délicieusement, merveilleusement agréables à butiner. Mes mains reviennent sur ces chemins qu’elles viennent de quitter, quelques instants auparavant. Les soupirs se répercutent dans la chambre et je sais bien que nous faisons un boucan d’enfer. Mais après tout ce ne sont que des bruits ...
    ... de la vie, des murmures normaux qui nous rassurent. Je caresse, touche tout ce qui peut l’être et le jeune corps de ma maitresse frémit, se contorsionne, se tord, se tend, se détend sans que je n’y trouve rien à redire. Elle n’est pas en reste et me prodigue aussi des câlins dignes d’un roi. Les doigts sont partout, menus, attentifs à me procurer des sensations à nulle autre pareille. J’adore cette jeune femelle qui comme moi, fait ses premières armes sans complexes. Encore que… mes balbutiements et ma défloraison ne sont pas dus à son jeune corps. J’ai juste une pensée émue pour cette femme qui à quelques mètres dort dans son lit. Tant pis si elle entend ce vacarme, ces cris et ces gémissements, elle ne pourra ainsi ignorer que son rejeton prend son pied avec une gamine de son âge. Et le souvenir d’une phrase de Maryse me remonte en tête. — Je t’ai tout montré ! Tu es vraiment un homme maintenant et tu dois voler de tes propres ailes. Bienheureuse la femme que tu aimeras ! Elle aura la chance d’avoir près d’elle quelqu’un de solide et de gentil… Donc pas de remord, c’est chose faite. Je vole de mes propres ailes et je suis bien parti pour faire l’amour à cette jolie fille qui pour le moment occupe mon temps, mon espace et mes pensées. Pas de bataille pour savoir qui d’Anne-Marie ou maman baise le mieux ! C’est différent et c’est bien comme ça. Les reins de la sœur de Jean-Baptiste sont accueillants à souhait. Cent fois sur le métier j’ai remis ma langue, et chaque passage de ...