Souvenirs d'une autre vie (5)
Datte: 01/07/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... totalement mon fils. Nous parlons de leurs études, des mois à venir si cruciaux pour les jeunes. À la fin du repas, ils desservent ensemble la table, m’intimant gentiment l’ordre de ne pas me lever de ma place. — Tu m’as servi… toute ma vie, un peu de repos pour toi maman, ce n’est qu’un juste retour des choses. Reste assise, on s’occupe de la vaisselle. Bien sympathique d’être ainsi dorlotée de temps en temps ! Depuis le départ de Pierre… personne ne l’avait plus jamais fait. Je regarde la donzelle qui donne des couleurs aux joues de mon fils. Elle est vraiment belle. J’entends des rires étouffés dans la cuisine, mon domaine pourtant. Quand je me lève enfin pour marcher un peu, je les entrevois. Ils sont enlacés et si je ne vois pas ce qu’ils font, la position de leur corps me laisse penser qu’ils s’embrassent. Ça me remue de partout, de savoir que mon Yohann a un béguin pour cette jolie plante. Ensuite je les laisse seuls, et je lis longuement dans ma chambre. Ça me fait tout bizarre d’entendre des rires et des bruits dans mon salon. La télévision et les deux jeunes font revivre la maison. J’ai éteint la lumière depuis plus d’une heure, je me retourne dans le lit, impossible de trouver le sommeil. À pas feutrés, je les entends passer dans le couloir qui mène à la chambre de Yohann. La porte se referme doucement sur les gamins. Pourquoi mon esprit reste-t-il ainsi en veille ? Je n’arrive pas à m’endormir et je change de position constamment. La maison m’offre ses bruits ...
... spéciaux que je n’avais plus vraiment oui depuis des années. Craquements du bois, sifflements dus au vent, que sais-je encore, ces petits riens qui nous amusaient avec Pierre, mais qui depuis longtemps étaient enfouis dans mon esprit. Perdue dans ces pensées d’un autre temps, un autre son devient soudain plus présent. Mon oreille se tend vers celui-ci. Il se répète et le doute n’est plus permis. Ce sont les deux jeunes dans la chambre en face qui soupirent. Je ne comprends pas ce qui m’arrive, je ne vais tout de même pas jouer à la voyeuse ! Et pourtant au fur et à mesure de l’amplification des bruits, j’écoute ce qui se passe. Tout d’abord, ce sont de simples soupirs. Petit à petit ils deviennent plus forts, moins retenus. Alors j’avoue que mon cerveau se met à faire des siennes. Il se réveille et les images qu’il m’envoie sont toutes plus ou moins axées sur le sexe. Il y a en premier lieu, ce sexe dont je garde le souvenir dans la bouche, dans les mains, dans le ventre. Puis se dessinent les contours d’une vulve fraiche, depoils encore fins, de lèvres roses et attirantes. Je vois mon fils lécher celles-ci, je l’imagine qui va la prendre, après tout un tas de préliminaires, mon ventre se met à gargouiller. J’ai moi aussi envie de faire l’amour, de me sentir désirée, belle pour un homme. J’ai envie que l’on me caresse, que l’on me touche, mais j’ai surtout envie de sentir vibrer en moi ce pistil qui me donne tellement de plaisir. Plus les gémissements à demi étouffés me ...