Souvenirs d'une autre vie (5)
Datte: 01/07/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... parviennent, plus cette idée de faire aussi l’amour devient obsédante. N’y tenant plus je vais à la rescousse de ce corps en état d’abandon. Aux sons des cris qui me parviennent, mes doigts rejouent sur un clavier chaud une musique des plus étonnantes. Je me berce d’images et de sensations, les répercutant sur ma chatte avec une certaine maestria. Lentement, mais surement, je réponds à leur envie, par mes envies et c’est presque à l’unisson que nous nageons sur les eaux claires de la jouissance. Apparemment dans la chambre de Yohann, Anne-Marie tire un certain profit de mes… leçons. Et moi, en maitresse d’école attentionnée, je suis l’évolution de ce qu’a retenu mon fils. Elle glousse, je me touche, elle remue, je me berce. Et dans cette fureur de vivre, des mains blanches et douces s’attachent à nous donner à elle comme à moi, une certaine forme de bonheur. Les miennes s’envolent sans que je les retienne, et je pense à celles de mon gamin qui doivent roder sur les formes encore juvéniles, mais terriblement excitantes de la fille qui est dans son lit. Quand le final retentit, légèrement plus fort, plus saccadé aussi par les bruits de la petite, je mets un point d’honneur à jouir de façon synchronisée avec elle. Solidarité toute féminine, que mon corps ne refuse pas. Je tremble de partout. Je griffe les draps froissés, mon corps savoure et quand enfin je me calme, l’espace d’une seconde je me dis que cette fille a dû aussi avoir un orgasme similaire, qu’elle a pris son pied. ...
... En mère soucieuse du bien-être de sa progéniture, je souris en pensant que finalement, cet orgasme… elle me le doit en partie. Pensées présomptueuses, pensées impures, d’une mère indigne sans doute… — oooOOooo — Pauline Moïse m’a fait l’amour comme un Dieu. Il a une façon tellement… je ne trouve aucun mot pour décrire ces séances qui m’emportent dans des délices extrêmes. Dans ces moments, je deviens comme folle et ma bouche prononce des paroles que je voudrais reprendre ensuite. Mais ce qui est dit est dit et c’est tellement compliqué de refuser quoi que ce soit à cet amant d’exception qu’est mon ami. Alors me voici devant le fait accompli et pas moyen de revenir en arrière. — Tu m’emmèneras encore chez ton amie Maryse ? Je vous regarderai faire l’amour et demande-lui si je pourrai la prendre cette fois. — Oui ! Mon amour, je lui demanderai, je l’amènerai à se laisser baiser par toi. Je te le promets ! Comment ai-je pu faire cette promesse ? L’état second dans lequel me plongent à chaque fois nos parties fines n’est pas étranger à cette situation. Merde, et maintenant ? Après le sexe, comment lui faire comprendre que ma langue est aussi agile dans les fellations que dans des propos qui ont dépassé largement ma pensée. Maryse a donc laissé des traces dans la mémoire de mon amant. Dans mon esprit aussi je dois dire. C’est vrai que ce soir-là Moïse n’a pas cherché à profiter de la situation. Mais je comprends bien qu’il compte, qu’il espère en user, pour ne pas dire en abuser, ...