Souvenirs d'une autre vie (5)
Datte: 01/07/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... cette forme de pénétration. Je sens pourtant encore les spasmes de la bite qui m’envahit. Je la jurerais moins longue, plus courte… mais je réalise qu’en fait c’est seulement l’épaisseur qui me fait cet effet. Et je sais, je sens qu’il vient de trisser en moi, que sasemence s’est de nouveau répandue sans qu’il n’arrête pour cela de me limer. L’idée qu’il puisse avoir éjaculé, me fait soudain partir sur les chapeaux de roues. Mon corps se crispe sans me demander mon avis et d’un coup je suis entrainée dans une spirale vertigineuse. Mes cris font trembler les murs et il est obligé de me cramponner par les hanches plus fortement pour que je ne m’échappe pas. Involontairement je me tords de bien-être, je gesticule dans tous les sens, ne sachant plus comment refréner cette folie qui s’abat sur moi, en moi. Partout, je me sens trembler, je ne dirige plus mon esprit non plus, je suis un pantin que le sexe et la jouissance emportent vers des ailleurs sans nom, vers des couleurs inconnues, vers d’incroyables lumières aux sons étranges. Tout est inaudible, tout est flou, tout est parfaitement imparfait. Je hurle sans arrêt et il a soudain peur et sa main telle un bâillon vient me museler quelque peu, tempérer cette ardeur à crier sans retenue. — Eh ! Ben ma belle, si tu n’as pas aimé tu me le diras ? Ne crie pas comme si on t’égorgeait ! Je n’ai pas envie de voir les flics débarquer et tu nous vois embarqués pour tapage ? — Hummm ! Humm ! Lâche-moi ! S’il te plait ! Non ! Nooon ! ...
... Le brusque arrêt de ma jouissance me fait mal. Il m’arrache un peu de lui, extrayant sans ménagement la queue encore suffisamment raide pour que je veuille la garder en moi. Il me prive soudain de cet objet de plaisir et du même coup me fait frissonner. J’ai envie de pleurer, de le frapper, de hurler encore plus finalement. Cinq petites minutes, deux minutes ! Non, il ne fait rien pour que je sois bien ! Sale type qui dès son plaisir passé, file rapidement. Puis je réalise que c’est méchant et injuste, il a seulement voulu se préserver d’un voisinage curieux et hostile. Je persiste cependant à mordre les draps un long moment, prise entre hystérie et mauvaise conscience. En fait, il me manque l’essentiel, la jouissance suprême parce que celle-ci vient d’être lamentablement écourtée. Lui est fier ! Fier de son engin qui reprend une forme plus ordinaire, fier d’avoir joui en songeant à une autre aussi peut-être, fier parce que les mecs sont ainsi faits. Mais je dois reconnaître que sa main vient finir le travail débuté par ses allers et retours. Allongé près de moi, il me flatte les grandes lèvres et sa bouche en penchant son visage vers ma chatte, apporte un certain réconfort à ma foufoune. — Pourquoi… pourquoi t’es-tu retiré aussi vite ? — Tu t’es entendue crier ? Je crois que toute la rue est au courant de notre… partie de… — Je m’en fiche moi, des autres… et merde ! La peste soit des envieux et des culs bénis qui trouvent toujours de quoi râler. Moïse s’est mis à rire. Il ...