La Muse (3)
Datte: 01/07/2019,
Catégories:
Erotique,
... rendîmes dans un salon de beauté, soins, massages, etc. En entrant dans le salon, j’eus la surprise d’entendre : — Bonjour, Mesdames ! Bienvenue, Madame Arnaud ; c’est votre fille ? — Oui, bonjour. — Très bien. Bon anniversaire, Jennifer ; Cécile va s’occuper de vous. Suivez-moi. Nous suivîmes la charmante dame qui connaissait mon prénom et ma date d’anniversaire. Elle ouvrit une porte et nous fit entrer. — Dès que vous êtes prête, vous allez directement au hammam ; vous connaissez le chemin… Maman connaissait le chemin du hammam ! Donc, c’était une habituée. À l’intérieur du local grand comme une boîte d’allumettes, des casiers tapissaient l’un des murs ; en face, des peignoirs accrochés à des patères attendaient, les bras pendants. Je commençais à avoir une petite idée sur la suite des évènements, mais pour être ressuée je posai la question : — Maman, on est censées faire quoi ? Elle me répondit avec un ton d’évidence et une pichenette sur le bout de mon nez : — Hammam, application d’argile, massage aux huiles, pédicure, manucure, soins du visage, coiffure, et même épilation, minou compris si tu veux ; ça te convient comme cadeau d’anniversaire, ma petite chatte ? Heureuse, je lui sautai au cou avec un lever de jambe à la Betty Boop en lui faisant un smack sur la bouche (c’est une habitude entre nous). — Oh merci, maman, je t’adore ! Dis-moi, ça se passe comment ? — Rien de plus simple : tu te déshabilles entièrement, tu peux mettre le string jetable qui est là si tu ...
... veux, mais tu n’es pas obligée. Les massages peuvent se pratiquer aussi entièrement nue, c’est comme tu veux. Tu enfiles un peignoir et on y va. iegiaaor Maman était déjà nue ; je l’imitai, puis elle me précéda, peignoir sur le dos en me tendant une serviette de toilette et m’entraîna jusqu’au hammam. En chemin, inquiète, je lui demandai s’il y avait des hommes ; elle me rassura : le samedi après-midi était réservé aux femmes. Maman s’arrêta devant une porte transparente marqué « Hammam ». À travers, je voyais un épais nuage de vapeur. Au mur, à côté de la porte, des patères vides indiquaient que personne n’était dans la pièce. Maman ôta son peignoir et le suspendit à un crochet ; je fis tomber le mien et suivis ma guide à l’intérieur de ce lieu, serviette à la main. À l’intérieur, la chaleur humide qui régnait était suffocante ; un afficheur à leds rouges indiquait 45° C et 100% d’humidité ; en gros, une cocotte minute pour adultes. Nous allions cuire ! Assises sur le banc de pierre installé en périphérie de la pièce et à température ambiante, la serviette posée à côté de moi me servirait de rempart pour masquer ma nudité au cas où. Maman me sourit et me demanda si tout allait bien. Voilà seulement cinq minutes que nous étions assises que j’étais transformée en une véritable fontaine. J’avais terriblement chaud, et la sueur gouttait de toutes les parties de mon corps. Les gouttes d’eau presque froides qui tombaient du plafond ne faisaient qu’alimenter ma source. À intervalles ...