Le 12 Juillet 2011
Datte: 02/07/2019,
Catégories:
fh,
2couples,
piscine,
vengeance,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
vidéox,
fsodo,
échange,
entrecoup,
... choisi pour tester notre accord. Au début, j’ai du mal à me concentrer sur la conversation, capitale, du temps en arrière saison, et mon esprit vagabonde. Que dois-je faire ? Comment réagir ? Je propose des boissons pour me donner une contenance. Je vais à la cuisine. À mon retour les femmes sont allongées sur les serviettes. — Merci, Chéri. Tu veux bien aller chercher les crèmes hydratantes que j’ai ramenées de la pharmacie. Vous allez voir, Emma, ce sont de nouveaux produits extraordinaires, bien qu’un peu gras. Et je m’exécute. — Donnes-en un à Luca. Et sans me demander mon avis, le Luca entreprend d’étaler le produit sur le dos de ma femme… D’accord, vous voulez jouer à ce petit jeu, alors moi aussi. Je m’approche de sa femme et fais de même. Situation étrange de ces deux femmes allongées, presque côte à côte, avec nous, les hommes, à genoux, face à face, appliquant le produit miracle sur leur corps. Luca et moi, nous nous surveillons, enfin pas vraiment, plutôt nous nous défions du regard. Mais j’ai un avantage, enfin je crois. Grace à lui et son film, j’ai déjà vu Julia avec un autre homme, alors que lui n’a sûrement pas encore assisté aux ébats de sa femme. Sinon il n’aurait pas eu cette réaction le fameux 12 juillet. Attends mon petit, tu vas voir ce que je vais faire de ton Emma. Je détache la bretelle du soutien-gorge, laissant le champ libre à mes mains qui peuvent évoluer plus largement. La crème dégage une odeur de pèche et s’applique facilement laissant une peau ...
... légèrement grasse. Mes gestes sont de plus en plus amples, des épaules aux reins, flattant en passant les hanches bien dessinées. Un coup d’œil me permet de voir qu’il s’applique à m’imiter. Je fais glisser le slip de bain, dégageant deux belles fesses blanches avec cette marque du bronzage traçant la frontière entre le visible et le caché, le publique et le privé. J’empoigne ces deux belles masses, les pétris et les enduis de crème. Un doigt curieux explore la raie et descend jusqu’à l’anus. La belle apprécie et je sens comme une vibration, un mouvement du bassin, une cambrure opportune. Elle se retourne. Le soutien-gorge reste au sol et sa poitrine apparait. Là aussi la marque du bronzage trace la frontière. Frontière moins marquée, signifiant que la coquine se laisse aller au monokini de temps en temps. Sous les yeux de son mari, ou seule à la plage ? Peut m’importe. Je la sais sensible des pointes. La crème s’étale, évitant les seins que je vois gonfler sous mes caresses qui les évitent. Elle fait tout pour me les proposer, mais je veux la faire attendre. Non, je descends vers le nombril, explore le bassin, flatte à nouveau les hanches et une main s’égare sous l’élastique du slip qui laisse un passage entre le fin tissu et le ventre plat. Elle gémit. C’est le début. Je veux la faire hurler de plaisir sous les yeux de son mari, ce fanfaron qui se croit irrésistible parce qu’il a baisé ma Julia une fois et que sa queue est plus grosse. Il ne connait rien aux femmes. Moi je ...