Quelques jours d'égarement (1)
Datte: 03/07/2019,
Catégories:
Zoophilie,
... cramponner à elle pour ne pas tomber. A chaque fois que l’animal retombait sur le sol, ma queue frottait contre son dos, comme une caresse. — Vas doucement, dis-je. Elle le remit au pas. Je me mis à l’embrasser dans le cou, et mes mains remontèrent sur ses seins. Elle me laissa faire, laissant sa tête aller sur mon épaule, me donnant l’autorisation de poursuivre. Je la mordillais dans le cou. Elle se recula encore pour bien sentir ma queue dure. Ma main glissa sur son ventre et parvint sur le pubis imberbe. Elle soupira encore et je perçus un mouvement d’écartement de ses cuisses. Mon majeur parvint sur le haut de sa fente. Je perçus la chaleur qu’elle dégageait. Je posais ma phalange sur son clitoris. Il était gorgé de sang. — Encore, continue… me souffla t-elle. Je fis glisser encore mon doigt et il rencontra les liqueurs épaisses que sa chatte secrétait. Elle était sexuellement excitée. Quand mon majeur se présenta à l’entrée de sa chatte, elle l’avala littéralement en gémissant. — J’ai envie de te baiser bien à fond, lui soufflais-je à l’oreille. — Je t’en prie, fais de moi ce que tu veux, je coule comme une fontaine, j’ai envie. Je ne la laissais pas finir sa phrase et lui plantait deux doigts dans son sexe trempé. Nos mouvements menaçaient de nous faire tomber, je quittais le dos de l’animal et l’aidait à descendre. Elle se jeta littéralement sur moi. — Je veux ta queue, prend moi ! Gémit-elle. Je la repoussais fermement car j’étais tellement excité que je craignis ...
... une éjaculation précoce qui aurait brisé le charme. Elle se retrouva dans l’herbe. Elle s’offrait à moi, le bassin ondulant, le sexe offert. Je me mis à genoux et approchais mon visage de la fourche de ses cuisses. Elle attrapa ma tête et la plaqua contre sa chatte. — Lèche, bois mon jus, baise moi. Je ne pus résister à cette offrande et poussais ma langue entre ses chairs détendues par le désir. Elle se cambra dans l’herbe rase. Elle était excitée comme jamais. Je vis ses mains chercher quelque chose. Quand je vis ses doigts attraper le fourreau de l’étalon qui patientait au dessus d’elle, je faillis défaillir. — Oh la belle queue, dit-elle. Voilà ce que je veux en moi, un bel étalon. Je veux qu’il me baise ! Nous proférons souvent pendant nos étreintes des propos obscènes mais là c’était une première. Au lieu de me dégoûter, cela m’excita plus encore. Elle branlait doucement le fourreau. — Viens mon beau, montre moi ta queue, murmurait-elle, la voix tremblante d’excitation. Je replongeais entre ses cuisses pour laper sa chatte comme un fou. Je frottais mes lèvres, mes joues, mon nez contre la fontaine qui jaillissait de son sexe. Lentement, la hampe de l’étalon se développa. — Ah cette queue ! Je la veux dans la chatte ! Tu veux qu’il me baise ? Dis moi tu veux ??? Elle branlait la gigantesque bite noire qui prenait de plus en plus d’ampleur sans avoir la raideur maximale. Pour l’instant elle n’était encore qu’un sexe mou mais énorme, gonflé de sang qui descendait vers son ...