1. Quelques jours d'égarement (1)


    Datte: 03/07/2019, Catégories: Zoophilie,

    ... pas occupé de toi. Elle fit quelques pas pour le dégager de la clôture. Je braquais mon objectif vers elle. Elle me fit un grand sourire pour la photo. — J’ai bien envie de l’essayer, tu crois que je peux. — Ecoute, on va pas le manger, vas-y fais toi plaisir. Elle se mit de coté et d’une impulsion s’éleva pour se retrouver assise sur la bête. Dans son mouvement, j’aperçus son entrejambe nu. Coquine, pensais-je. L’animal se laissa faire apparemment heureux que l’on s’occupe de lui. Elle le manœuvra facilement grâce à son expérience de cavalière, puis elle s’éloigna vers le fond du champ au petit trot. Je franchis la barrière à mon tour. Le pré était très grand et elle partit jusqu’au bout faisant même prendre un galop lent au cheval. Elle revint ensuite vers moi. Elle était resplendissante et je la sentais vraiment heureuse de pouvoir monter. Elle stoppa l’animal devant moi. J’avais sa cuisse nue devant moi, la robe s’était relevée avec les secousses et le vent. J’entrevis même l’ombre de son entrejambe. Ses tétons pointaient sous le tissu. Je me reculais un peu pour saisir cette image. Elle était superbe et tellement désirable que mon émotion finit par se voir. Cela la fit rire. — La belle et la bête, me souffla t-elle. Puis tout doucement, elle défit un à un les boutons de sa robe. — En club ce n’était pas possible, alors je ne vais pas me priver, dit-elle devant mon regard un peu surpris. C’était un fantasme. Sa robe s’écarta pour dévoiler tout son corps généreux. — Tu ...
    ... es splendide, confirmais-je. — Je vois que tu aimes. Elle fit faire une volte au cheval et le fit s’élancer. L’animal répondait bien. Avec la vitesse, sa robe se mit à flotter derrière elle. Je vis ses fesses nues, ses reins. Un cliché pour mémoire. Je m’avançais dans le pré. Elle revenait vers moi au grand galop. Puis au trot, elle se mit à tourner autour de moi. Je gagnais le milieu du pré. — Tu es belle, lui criais-je. — Je t’excite ? — Beaucoup. Sans cesser de trotter elle se débarrassa de sa robe, la maintenant telle un étendard. Elle la lâcha à mes pieds. — C’est bon ! hurla t-elle. Elle arrêta l’animal près de moi. Elle était essoufflée, et elle se coucha sur la croupe de l’animal offrant sa nudité au soleil. Ses seins étaient gonflés et j’aperçus même sa chatte que les frottements sur le pelage noir avait du éveiller. Elle brillait. J’étais maintenant moi aussi réellement excité. — Déshabille toi aussi, je t’emmène ! dit elle en se relevant prestement. — Tu es folle, dis-je en riant. — Allez, profitons-en. Allez, à poil. En riant, je lui obéis, un peu surpris du tour que prenait la scène. Mais c’était assez tentant, il fallait bien l’avouer. Elle me tendit la main et m’aida à monter derrière elle. Curieuse sensation que de sentir sous mes fesses le pelage humide de la bête. Je me collais à elle, ma queue tendue se greffa contre ses reins, je posais mes mains sur ses hanches, le cheval s’élança à la première sollicitation de ses talons. Cavalier médiocre, je devais me ...
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