1. Quelques jours d'égarement (1)


    Datte: 03/07/2019, Catégories: Zoophilie,

    ... frotter le gland fortement veiné contre cette chatte visqueuse. Elle gémissait d’excitation et se malaxait les seins avec force, se pinçant fortement les tétons. — Vas-y, baise moi avec cette queue. Je forçais et le bout du gland se cala dans l’entrée. Elle ondula pour avancer son bassin et s’empaler elle-même sur l’étalon. J’étais fasciné par la vue de ses lèvres distendues qui peu à peu avalait le gode vivant. L’étalon avança un peu et pénétra plus avant dans le gouffre. Mon autre main partit entre ses fesses et mon majeur flatta son œillet. — Je vais te la mettre dans le cul ! lui murmurais-je. — Oui, ce que tu veux, tout ! Elle donnait des coups de reins violents, dosant elle-même la fouille de son ventre. Elle se plia en deux, attrapa la hampe à deux mains et tira dessus pour l’enfoncer encore. — Je suis une pute ! Humilie moi ! Mets la moi dans les fesses ! Je sortis la queue de sa chatte. J’étais subjugué par la dilatation de son sexe qui restait ouvert. Une liqueur blanche épaisse s’écoulait. L’animal avait-il éjaculé ? Je recueillis la crème avec mes doigts et la goûtais. Je reconnus ses sécrétions. Je repris possession de sa chatte. Elle accueillit quatre doigts sans aucune difficulté tellement elle avait été élargie. Une fois mes doigts bien enduits, j’entrepris de l’enculer. Un, deux puis trois doigts envahirent sa gaine. Toujours pliée en deux elle avait repris la hampe en bouche et s’acharnait dessus, la poussa au fond de sa gorge, lapant la peau noire. Je ...
    ... posais le gland sauvage sur sa pastille brune lubrifiée. A ma grande surprise, le gland l’encula sans peine et lui arracha un cri de plaisir. Elle s’écartait les fesses pour que je vois bien la sodomie bestiale. 5, 6,7 … 10, 15,20 centimètres de chair dure l’enculaient. Son entrejambe était déformé par le volume mais elle jouissait de cette pénétration hors norme. L’animal commença à s’agiter. J’eus soudain peur qu’il ne s’enfonce en elle trop violemment. Elle le sentit aussi et se dégagea. Son anus aussi avait été dévasté. Elle rampa sur le dos pour pouvoir sucer la queue tout en restant confortablement allongée. Elle le reprit en bouche, et le branla de toutes ses forces. Je parvins à glisser ma tête sous la hampe qui frottait sur mon dos et entrepris de lécher sa chatte. C’était divin. J’étais fou ! Ma langue allait et venait dans ses deux orifices béants. Je l’entendais murmurer la bouche pleine de la queue. Elle allait bientôt venir, je le sentais. Le cheval fit entendre un ruminement. Lui aussi était proche de son plaisir. — Il vient, il va jouir ! J’abandonnais son bas ventre et revint m’allonger à coté d’elle. Nous l’achevâmes ensemble avec nos langues et nos mains. Il se libéra avec une violence incroyable, un geyser de semence qui jaillit en direction de nos bouches ouvertes, joues collées, nous reçûmes ensemble le sperme qui s’étala sur nos visages, nos langues. Nous le vidâmes totalement. Elle se tourna vers moi et nous nous embrassâmes avec gourmandise pour partager ...