1. Quelques jours d'égarement (1)


    Datte: 03/07/2019, Catégories: Zoophilie,

    ... Je ne l’avais pas souvent vu aussi gémissante. C’était bon. Au bout de quelques minutes de ce traitement, il libéra les deux issues. L’œillet m’apparut totalement dilaté puis lentement se referma. La chatte trempée resta ouverte. Elle se plia en deux et avala la queue du paysan, qui râla de plaisir. Il posa ses mains dans les cheveux et appuya pour qu’elle l’avale totalement. — Putain, mais ta femme est une furie, elle en veut ! — Oui, c’est une vraie salope, elle aime se faire baiser. Si tu as des amis, invite les, elle leur fera plaisir. Elodie embrassait le gros gland et le léchait avec une gourmandise évidente. Je savais que mes propos l’excitaient encore plus. — J’ai envie de bien te baiser, dit l’homme en la regardant. Je vais t’emmener à l’écurie, j’aime baiser là bas. Il tira Elodie par le bras et sortit en la tirant. Nous traversâmes la cour de ferme tous les trois nus. Il la poussa contre les mangeoires et il y prit appui, pliée en deux, croupe offerte. — Putain mais quel cul ! dit-il en contemplant les fesses. Il les écarta largement, entrouvrant l’œillet préparé par le concombre. Il plongea son majeur dedans sans délicatesse, arrachant à sa victime un gémissement. Il la traitait de tous les noms et la sodomisant de tout son doigt. Les yeux clos, elle écoutait avec délice. Une chaîne destinée à attacher les bêtes pendait de la mangeoire, il s’en saisit et l’enroula autour de son cou gracile. Il planta son index aux cotés de son majeur. Elle s’offrait totalement, ...
    ... les reins cambrés, les fesses ouvertes. Enfin il se présenta derrière elle et posa son gland contre son orifice. — Tu le veux ? — Oui, vas-y, encule moi fort. Elle ne parlait jamais comme ça. Le paysan contempla son outil et d’un coup encula Elodie jusqu’à la garde. Il la tenait aux hanches et écartait les fesses pour bien voir. Les seins de ma moitié se balançaient sous elle. Il les attrapa et se mit à les pétrir férocement. — Viens la baiser aussi, me dit-il en s’écartant. Elle va me sucer encore. Je le remplaçais de la même façon, brutalement. — Tiens espèce de pute, dis-je en donnant mon coup de reins. Le paysan trouva sa bouche gourmande. Tout en l’enculant, je la regardais sucer. Nous échangeâmes nos places plusieurs fois, baisant ses deux orifices à volonté. Elle avait déjà joui mais en demandait encore. Je commençais à faiblir. Après une série de coups de reins rapides dans ses deux ouvertures, je sentis ma semence monter. J’éjaculais abondamment à l’entrée de son anus béant. Le paysan prit ma suite et ramona fébrilement Elodie jusqu’à l’orgasme. Sa semence se répandit sur l’orifice gras. Il se soulagea en beuglant et inonda la raie déjà trempée. Il reprit ses esprits. Il claqua les fesses d’Elodie comme il l’aurait fait à une bête. — Toi, dit-il, tu vas passer une bonne semaine ici. Il repassa sa cotte et me fit un clin d’œil et prétexta du travail pour s’esquiver sans plus de cérémonial, nous laissant seul. Je contemplais le corps ravagé de Elodie, et retirais la ...
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