Quelques jours d'égarement (1)
Datte: 03/07/2019,
Catégories:
Zoophilie,
... lourde chaîne, puis nous regagnâmes l’appartement. Le soir, dans le noir, elle me dit combien elle avait aimé être traitée ainsi, comme la bête qu’elle était devenue. Elle avait joui à plusieurs reprises. — Ce sera une semaine hors du temps, fantasmée lui dis-je. Le paysan nous salua très cordialement et un grand sourire après une bonne nuit. Il était déjà au travail. Comme tous les jours nous partions nous promener autour de la ferme. Alors que nous allions quitter la cour, il nous appela : — Au fait, j’ai invité des amis comme vous me l’aviez dit hier. J’espère qu’elle sera prête car je leur en ai parlé et ils sont excités comme des puces ! Ils viendront pour l’apéro ! 18 heures, dans la cour ! Allez bonne ballade ! Il reprit le fil de son travail. Nous n’en parlâmes même pas de peur de susciter une frayeur disproportionnée et malvenue car moi j’étais très excité. Je la sentais aussi curieuse et l’aveu du plaisir qu’elle avait eu la veille me rassura sur ses dispositions. A 18 heures, nous étions dans le séjour et nous entendîmes plusieurs voitures entrer dans la cour. Je jetais un regard par la fenêtre. Ils étaient 5 dont un couple. Je fus surpris de voir sa tenue plus que provocante. Elle n’aurait pas détonné au Bois-de-Boulogne. Elle semblait intime avec tous les hommes. Je vis notre hôte lui indiqué notre gîte. Elle s’approcha et frappa à la porte. — Salut, je viens rencontrer ta femme, il paraît qu’elle est bonne à baiser et qu’elle aime ça. Je m’effaçais et la ...
... laissais entrer. Elodie, assise dans le canapé, ouvrit de grands yeux en la découvrant. — Salut chérie, ils sont impatients de te voir. Je regardais cette femme ronde, sautillante sur ses hauts talons, sa croupe rebondie serrée dans une mini jupe de skaï, ses jambes couvertes de résille noire. J’avais remarqué sa poitrine énorme en ouvrant la porte. Son décolleté contenait à peine les seins lourds et j’avais même distingué le haut des aréoles. — Tiens, dit elle en tendant le sac qu’elle avait apporté, tu vas passer ça, c’est exactement ce qu’ils aiment. Elle s’assit sur une chaise, heureuse. — Ah c’est bien d’avoir du neuf, y avait longtemps. Entre ses cuisses, j’aperçus le blanc d’un string, moulant une chatte sans doute aussi rebondie que le reste. Elodie sortit le contenu du sac. — Allez chérie, passe moi tout ça, je te garantis que tu vas leur plaire ! Son regard vicieux détaillait Elodie. — D’ailleurs, tu me plais aussi, je sens que l’on va bien s’amuser. Ils aiment bien ce genre de costume mais il faut le comportement qui va avec ! Allez ! Elodie partit dans la salle de bains. — Tu sais que t’es pas mal aussi, dit-elle en me regardant. J’aime les beaux gars comme toi, jeune et fort. Viens. Je ne bougeais pas. — Allez viens, je ne vais pas te manger ! Quoi que ! Ça me tenterait bien. Viens. Je m’approchais. — Allez viens profite ! Elle écarta son décolleté et me fit voir un sein énorme. Une masse molle surmonté d’un téton gigantesque et ceinturé par une aréole surdimensionnée. ...