1. La leçon de piano


    Datte: 04/07/2019, Catégories: fh, fplusag, poilu(e)s, intermast, Oral pénétratio,

    ... ma bitte.. je vais bientôt tout t’envoyer.. n’arrête pas … essaie de jouir avec moi…." Jamais un homme (mais c’est vrai que j’en avais peu connus) ne m’avait parlé comme cela pendant l’amour… de John je supportais tout car sa vulgarité était nature et non provocante, il était comme il était… et c’était bien …. Moi aussi je sentais la tension monter en moi et, jouant crescendo, j’ai osé aussi parler dans le même registre que lui : " Oui, c’est bon, tu es bien en moi… je vais jouir avec toi.. lâche-moi bien tout.. mais continue encore un peu… là, voilà… je suis prête… vas-y ! oui oui…. Je ne me reconnaissais pas, moi qui ai toujours eu un langage châtié ! Je voulais jouir, m’envoyer en l’air en même temps que finissait ma musique…. Pour activer l’arrivée de la jouissance de John je contractais mon vagin autour de sa queue, le relâchais comme pour un massage interne…. J’entendais maintenant mon amant couiner comme un petit chien et, s’agrippant solidement à mes hanches, donner des coups de boutoir pour exploser en moi…. C’était l’apothéose et Brahms devait se retourner dans sa tombe (la main sur son sexe !) en nous voyant ainsi terminer une de ses œuvres par une explosion de jouissance. John se répand longuement en moi.. je sens sa semence chaude m’envahir et se mélanger à la mienne …. Cette fin de coït est merveilleuse car elle nous réunit encore plus… nous avons joui ensemble… Un très long baiser suivi encore de caresses précises nous a fait nous calmer ….. Nus tous les deux ...
    ... nous nous sommes encore regardés, nous avons encore regardé nos corps qui nous avaient si bien fait jouir …. La queue de John avait conservé une dimension respectable mais elle pendait maintenant, débandée, sur les bourses. Soudain , j’ai regardé ma montre… Malédiction, cela faisait trois heures que nous nous livrions à nos ébats… ; vite vite nous avons mis un peu d’ordre dans le salon, remis tout en place et après un dernier et doux baiser, je me suis rhabillée sans mettre ni culotte, bas et porte-jarretelles (dans quel état étaient-ils !!) sans me laver (ouh, la sale fille…) et sans me remaquiller… et vite un petit pipi. John s’était aussi rhabillé et, très timidement cette fois, il m’a demandé : " Cela t’a plu ? Tu reviendras encore ? " Il était subitement devenu timide !!!! Ma réponse lui fut dite à l’oreille en un seul mot : OUI. Il m’embrassa tendrement sur la joue pour un au revoir. Faudra que je fasse attention à ce qu’il ne tombe pas amoureux de moi, car je ne veux pas d’ennuis. Quasi au moment où j’allais sortir ne voilà-t-il pas que la mère de John rentre plus tôt que prévu. Nous étions surprises toutes les deux. Elle me dit : " Tiens, vous êtes encore là. Vos deux heures sont cependant écoulées depuis longtemps. John a été sage au moins ? " J’ai bredouillé une réponse comme quoi nous avions fait des exercices de solfège et que je n’avais pas vu le temps passer. Au moment de sortir, madame mère me dit : " Tiens, n’aviez-vous pas des bas au début de cette après midi ...
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