1. Les yeux au bout des doigts


    Datte: 05/07/2019, Catégories: ffh, prost, poilu(e)s, hsoumis, odeurs, Oral yeuxbandés,

    Cette soirée d’août s’avérait décidément encore tiède; il avait fait si chaud aujourd’hui à Paris comme une belle journée d’été. J’étais monté à la capitale comme tous les mois pour le travail et, je n’avais pas perdu mon temps puisque j’avais signé un contrat représentant quasiment une année de mon salaire. J’avais décidé de sortir ce soir malgré la fatigue . Je crois que j’avais une envie de baiser qui me serrait le ventre et sûrement besoin d’une récompense que je souhaitais m’offrir. Visiblement , j’avais besoin qu’une prostituée me prenne en mains, aussi je me rendis rue St Denis en pensant trouver ce que je cherchais. Le début de soirée se passa en une petite halte dans un vidéo-shop histoire de me mettre dans l’ambiance. Je crois que mon choix se porta sur une vidéo anglaise où les filles s’évertuent à s’exhiber en train de pisser en pleine ville, soit dans les parcs, soit derrière les voitures. Vraiment pas froid au yeux, les filles ! Moi en tout cas, cela m’avait fait monter la température avant d’aller baiser. Il était maintenant autour de 23 heures au moment où je ressortis pour reprendre ma quête. Le haut de la rue n’était maintenant plus très loin. J’essayais de faire le point dans ma tête sur mes envies de sexe pour ce soir. Il est vrai que mes poches s’étaient remplies aujourd’hui et que je pouvais envisager un petit extra. Je crois que j’avais envie une fois de plus d’exotisme. Les belles étrangères aux formes généreuses arrivaient premières au box office de ...
    ... mes fantasmes, et je savais que j’aurais le choix avec les africaines, nombreuses, et quelques maghrébines qui tapinaient dans ce quartier. Sans parler des Françaises qui pouvaient très bien emporter mon choix au dernier moment. Je commençais donc ma prospection érotique en reluquant les blackettes, toujours discrètes en t’adressant un petit « Tu viens chéri… ». Mais elle ne m’attiraient pas vraiment sauf les plus grandes peut-être, qui arboraient souvent des plus grosses poitrines et des grosses fesses correspondant à mes désirs d’abondance. Je fis un tour aussi rue Blondel sans vraiment pouvoir faire mon choix ; il est vrai que plusieurs auraient fait l’affaire mais une seule devait l’emporter. Je repensais à Nadia avec qui j’étais monté quatre mois plus tôt, et qui m’avait donné pas mal de plaisir et entièrement satisfaction. Je me souviens que nous avions parlé de la possibilité de faire venir une autre fille pour baiser devant elle et avec elle. Voilà, mon choix était fait. Nadia m’avait glissé son numéro de portable pensant avoir flairé un bon client. Aussi, je décidais de l’appeler car je ne l’avait pas vu devant son entrée. Elle possédait son studio et, en bonne call-girl y attendait parfois sa clientèle . Elle répondit tout de suite et me donna rendez-vous dans l’instant. — Salut Nadia, c’est Jean-Léon, tu me remets ? on s’est vu y-a à peu près quatre mois.— Oui je me souviens, Bonsoir, tu veux monter avec moi ?— Ouais, j’ai très envie, les tarifs n’ont pas changé ?… ...
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