Les yeux au bout des doigts
Datte: 05/07/2019,
Catégories:
ffh,
prost,
poilu(e)s,
hsoumis,
odeurs,
Oral
yeuxbandés,
... Ce n’était pas un vain mot. Et je repris — Tu sais, on en avait parlé j’aurais envie qu’on monte avec une autre fille ;— T’as de quoi ?— Oui , j’ai prévu pour vous deux, pour toi et pour elle et je te donnerai plus pour que tu me gardes plus longtemps.— Comment on fait, me dit-elle, tu veux la choisir tout de suite,— Non, je préfèrerais que tu la choisisses parmi tes copines pour moi et que tu me la fasse découvrir. Mais je voudrais qu’on commence tous les deux et qu’elle arrive après, répondis-je fébrilement. Elle était d’accord avec ce plan surtout que je lui avais alloué une somme raisonnable. Puis elle me dis : — Tu vas m’attendre dans la courette, je vais voir la fille à qui je pense et je reviens . On la rappellera quand on voudra qu’elle monte. Nadia avait résumé le scénario que j’avais imaginé. Je commençais à être vraiment excité à l’idée qu’elle allait faire venir une fille que je ne connaissais pas et que j’allais pouvoir la prendre devant elle. Quand elle revint : elle me dit qu’elle avait trouvé celle à qui elle pensait et que nous ferions comme prévu. On pouvait monter. Nadia me précédait et quelques marches derrière, j’observais ses grosses fesses qui tendaient le cuir noir de sa minijupe, les jambes étaient gainées de bas résille et je découvrais parfois la chair laiteuse qui débordait légèrement en haut de ses cuisses. Elle portait visiblement une petite culotte très resserrée sur la fente de son cul, mais rien à voir avec un string. Cela n’avait rien pour ...
... me déplaire car je préférais le charme d’une petite culotte classique et cotonneuse à la raréfaction textile du string entre les fesses. Dans sa studio, après qu’elle m’eût décrit le charme qu’elle attribuait à sa copine. Je lui donnais son argent en lui disant que je mettais 100€ de plus que leur tarif, et qu’elle se charge de partager avec sa collègue. En me remerciant, elle me demanda ce que je voulais. — J’ai très envie de te déshabiller moi-même et que tu me racontes les histoires de cul que tu as vécu dans ton job ou dans ta vie. Elle était d’accord. Je la fis venir devant moi et commença à lui caresser la poitrine au travers du chemisier. Sa lingerie très fine tenait ses seins opulents, bonnet D sans aucun doute ! Les premiers boutons furent défaits sur le champ. Je glissais maintenant les doigts entre la dentelle noire et la peau laiteuse de son nichon gauche tandis que mon autre main caressait ses hanches et ses fesses. Pendant que je titillais le téton qui grossissait, je soupesais un moment son volume mammaire, Nadia me caressait la bite au travers du jeans qui avait pris un volume considérable (pas Nadia non, mon sexe bien sûr !) ce qui m’impatientait. Nadia le compris et elle baissa carrément mon pantalon et mon slip pour me la caresser du bout des doigts. — Tu peux te déshabiller, tu gardes tes bas et ta culotte, demandais-je à ma partenaire. Pour ma part, j’enlevais le reste. Nous étions maintenant quasiment nu l’un et l’autre, Nadia exhibait ses gros seins qui ...