1. Coups de foudre


    Datte: 05/07/2019, Catégories: grp, jeunes, inconnu, copains, jalousie, noculotte, odeurs, préservati, jouet, échange, Partouze / Groupe fantastiqu, fantastiq,

    ... allions baiser, tout simplement ! J’avais envie qu’il me laboure, j’avais besoin d’un va-et-vient forcené dans cette intimité de fille devenue la mienne. Il serait toujours temps, ensuite, de redevenir le mâle que j’étais en réalité et, à mon tour, de posséder Delphine qui, déjà nue, allongée sur le dos, les cuisses ouvertes, commençait à gémir et balbutiait des mots indistincts, sous le corps de Sébastien. Son pied touchait le mien alors que les garçons nous chevauchaient et nous besognaient avec véhémence. Je me demandais laquelle, de Delphine ou moi, allait jouir le plus vite. Ce fut moi, les doigts crispés sur les épaules de Jimmy. On me l’avait bien dit, que le plaisir d’une fille est plus intense que celui d’un garçon. Delphine avait les yeux fermés. Lorsque la bouche de Sébastien s’approchait de la sienne, elle se détournait, refusant le baiser. Je lui en sus gré, m’imaginant que depuis que mes lèvres avaient pris les siennes, elle me les réservait. Nous étions cinq ou six couples, qui baisions côte à côte. Des garçons et des filles nous regardaient, qui n’allaient pas tarder à venir nous rejoindre : d’autres lits glissaient sur le parquet de chêne et venaient se juxtaposer aux nôtres. Des vêtements tombaient. Alphonse était là, debout, les yeux écarquillés. Le corps de Jimmy, secoué de soubresauts de plus en plus faibles, s’avachissait sur le mien. Je le repoussai, il bascula, les lèvres bientôt sur la poitrine de Delphine, que venait de libérer Sébastien, dressé sur ...
    ... les genoux et cherchant une autre partenaire. J’étais là ! Il bandait encore, et fort vigoureusement. Il n’avait donc pas joui à l’intérieur de Delphine, et j’en fus satisfait. Stupidement, car manifestement d’autres allaient le faire. — Ah, toi au moins, tu participes, grogna Sébastien, enfoncé en moi tout suite. Il me piochait avec rage. Je crispais mon vagin, le resserrant tant que je le pouvais autour de son pieu vigoureux. Le butor ne m’attendit pas pour jouir. Tant pis, d’autres mâles étaient là. Sébastien ayant roulé sur le côté, un garçon abandonna le corps alangui de sa copine pour se coucher sur moi. Je lui dis de prendre une capote neuve. Il bandait un peu mou. Je n’eus pas envie de le sucer, je le repoussai en regardant Alphonse et je tendis la main. Il s’approcha, je palpai sa verge érigée sous ses vêtements. — Enlève ça et viens ! lui dis-je. Il fut nu très vite, sa verge bien droite, vite enveloppée et aussitôt en moi, alors qu’il poussait des grognements de bête. Il était temps : il avait failli jouir avant d’entrer ! Le copain de Delphine était devant nous, les yeux pleins de larmes. Delphine était sous le corps d’un autre et remuait la tête, les yeux fermés. Celui-là savait s’y prendre : ses mouvements étaient doux et amples. Un piston dans un fourreau de chair, une mécanique puissante. Le plaisir montait en Delphine qui accompagnait des hanches et des reins les va-et-vient de son partenaire d’un moment. La voir jouir sous le corps d’un autre était atroce et ...
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