1. Coups de foudre


    Datte: 05/07/2019, Catégories: grp, jeunes, inconnu, copains, jalousie, noculotte, odeurs, préservati, jouet, échange, Partouze / Groupe fantastiqu, fantastiq,

    ... je dise à Delphine :Il va venir, il pense à toi, il t’aime, il t’aime. Car il me semblait bien que je l’aimais. Sous le chemisier beige, les mains du prédateur caressaient, pinçaient les pointes de ces seins écartés dont je connaissais tant la sensibilité. Le visage de Delphine était devenu farouche. La main droite du type abandonna la poitrine pour se glisser sous la jupe bleue. Il se pencha un peu plus, et lui murmura : — Oh, la délicieuse salope, qui n’a pas mis de petite culotte ! Écarte les cuisses, ma jolie. C’était épouvantable et pourtant… excitant. Et la main de Delphine ne pouvait que poursuivre le chemin qu’elle esquissait, pour aller à la rencontre d’un phallus déjà rigide. Comme était celui de Jimmy. En moi comme en Delphine, il y avait tout simplement des organes qui voulaient fonctionner, jouir. Jouir !… Discrètement, derrière notre dos, nos partenaires d’un soir déboutonnèrent leur braguette. Le sexe de mon Américain était normal, sans plus. Circoncis. Le gland palpitait sous ma main, qu’il repoussa très vite. — Allons dans une chambre. Je ne voulais pas m’éloigner de Delphine. Si elle faisait jouir ce garçon, quitte à jouir un peu elle-même, il n’y aurait que moindre mal, pensais-je. Je n’allais pas la voir se tordre de plaisir sous le corps de ce type, crier sa jouissance, lui murmurer des mots d’amour auxquels je n’avais pas vraiment eu droit, moi, quelque temps auparavant. Mais alors je les dédaignais, fou que j’étais ! L’orage était là. La foudre fut ...
    ... attirée par le clocher de la cathédrale, tout proche. Le boss ne me faisait pas peur, protégés que nous étions par le paratonnerre, cette invention des mortels qui fut un pas important sur le chemin de l’incroyance en un dieu tout puissant et méchant. De grosses gouttes de pluie tombèrent bientôt, comme d’abondantes larmes. J’étais en train de perdre Delphine et je ne faisais rien pour empêcher cette catastrophe, car ma curiosité malsaine était plus forte que ma détresse. Je connaissais ce genre de vertige, auquel jamais je ne fus capable de résister. Le dortoir était grand. D’autres couples nous avaient suivis. Sans même se concerter, les garçons rapprochèrent des lits, de manière à constituer un grand baisodrome, comme le dit Sébastien, ravi de sa bonne fortune. Sans doute avait-il envie de Delphine depuis longtemps ; mais il ne se montrait pas égoïste : elle lui servirait de monnaie d’échange. Et moi de même, pour Jimmy qui enleva très vite mes vêtements, qu’il jeta par terre. Sébastien avait ouvert le chemisier de Delphine et suçait la pointe de ses seins, en passant voracement de l’un à l’autre. Les doigts de Delphine palpaient la verge de Sébastien, déjà enveloppée de latex rose chair. Puis elle fut à genoux devant lui, la bouche ouverte, la langue à moitié sortie. Il avait ses deux mains sur les tempes de ma bien-aimée. C’était d’une horreur sans nom mais Jimmy me léchait, aspirait mon clito dilaté tout en glissant un doigt dans le sillon de mes fesses. Eh bien oui, nous ...