1. Julie 1 - Ma meilleure amie est une salope - à quatre, sinon rien (3)


    Datte: 06/07/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... de nous retenir cette fois. Nous cherchions juste à l’utiliser pour décharger un coup. Jean se vida dans son cul en premier. J’étais un peu réticent à l’enculer après ça, mais je mordis sur ma chique tellement j’en avais envie. Ça me faisait bizarre de baiser une fille déjà pleine de sperme d’un autre, mais cela la rendit encore plus salope à mes yeux. Steve était dans sa chatte pendant ce temps-là, juste en dessous d’elle. Mais ni lui ni moi n’avions envie d’éjaculer comme ça. Nous la mîmes à genou et lui ordonnâmes de nous sucer. Elle fut obligée de goûter le jus de Jean sur mon chibre. Cela n’avait pas l’air de la gêner. Au contraire, elle avait l’air de se régaler. Elle passa de l’un à l’autre avec instruction de nous faire jouir. Elle nous branla et pompa comme une assoiffée de sperme. Elle savait s’y prendre, c’était une vraie déesse. — Juju, ne t’arrête pas. C’est bon, je vais venir ! l’avertis-je. Je lui pressai la tête contre ma queue en la tenant par la nuque, tandis qu’elle m’engloutissait autant qu’elle le pouvait. Je me laissai complètement aller quand je sentis que mes couilles allaient éclater. J’explosai dans sa bouche en la nourrissant de mon sperme qu’elle but par gorgée. Steve, qu’elle branlait toujours, éjacula peu après. Il enleva sa main pour la remplacer par la sienne et dirigea sa trique vers son visage. Il lui envoya son foutre alors qu’elle était toujours en train de m’avaler. Il lui en mit sur la joue, le front et le nez. Il se vida ...
    ... complètement dessus en grognant comme un animal tout en la traitant de tous les noms. Elle recracha mon sexe ramollissant puis joua avec le jus de Steve en l’étalant et en le goûtant. Nous pensions que c’était terminé quand Jean nous écarta brusquement tous les deux, le sexe bandé à nouveau, et se masturba devant elle. — Raah, putain de chienne ! Tu vas me faire craquer ! Elle le fixait avec impatience. Il ne lui fallut pas longtemps pour éclater sur ses seins. Il avait encore de sacrées réserves, le salaud. Elle était recouverte de sperme. Du jus coulait sur ses tétons et faisait des trainées sur son ventre jusqu’à sa chatte. Je la trouvais magnifique. Repus et épuisés, nous nous rhabillâmes. Julie partit se baigner dans la mer pour se débarbouiller un peu. Nous la rejoignîmes, prîmes du bon temps comme des jeunes adultes normaux, puis nous séparâmes. Les jours qui suivirent furent fabuleux. Ce fut les meilleures vacances de toute ma vie. En apparence, nous passions notre temps à nous amuser comme tous les autres, mais dès que l’envie nous prenait, nous nous éclipsions dans notre coin pour baiser avec Julie, encore et encore. Nous n’en parlions jamais, mais nous savions tous que ce genre de relation ne durerait que le temps des vacances, et que lorsque nous rentrerions à l’université, tout redeviendrait normal et nous ne devrions plus jamais y faire allusion. Nous en profitions alors un maximum. Nous copulions comme s’il n’y avait pas de lendemain. Nous nous créâmes des souvenirs ...
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