Amis-Amants - Histoires de Sexe

Amis-Amants

... garces ne me demandent pas de choisir quelle est la plus belle ou la plus envoûtante, je ne saurais le dire. Le spectacle dure très longtemps, mais il varie tellement qu’il ressemble à un récital de toutes les émotions que Valérie sait exprimer. Par ses mouvements sensuels, elle sait faire durer une tension émotive intense. Quand la musique s’arrête, la Mauresque nous fait une révérence très appuyée en croisant ses jambes et se penchant très bas, ce qui nous met sous le nez sa poitrine rehaussée par son petit-haut genre push-up. Nous applaudissons tous les deux à tout rompre en la dévorant du regard. J’enchaîne pour apporter ma contribution à ce climat de joie : — Mes toutes charmantes, je vous propose un toast au champagne. La boisson des rois qui, seule, est digne de votre beauté. Vous m’avez offert un merveilleux spectacle. Je me lève, entraîne Véro avec moi, nous sommes tous les trois debout devant le feu et nous levons nos verres… — À nous, à cette soirée, à votre beauté ! Je ne me sens pas digne du merveilleux cadeau que vous venez de me faire et que vous me faites encore.— Sois-le, en étant aussi gentil et affectueux que tu sais l’être ! me rassure Véronique avec un doux baiser.— Et en nous apportant la tendresse et la force que tu as déjà su nous donner, dit Valérie en repoussant Véro et en me donnant un baiser intense.— Merci pour vos baisers les filles. Mais il faut fermer le trio des baisers maintenant, il n’y a que de l’harmonie entre nous ce soir et je ne veux ...

... pas être entre vous ! Donnez-vous un baiser aussi doux que ceux que vous m’avez donnés.— Mais c’est avec un grand plaisir, dit Valérie en se tournant sans hésitation vers Véro et en l’embrassant sur les lèvres avec une passion plus forte encore. Leur baiser est interminable, et le spectacle me plaît vraiment, mais je l’interromps volontairement pour garder le rythme prévu à cette soirée. — Nous allons passer à table. Tout est près, nous allons nous régaler. Effectivement, le restaurant du village nous a livré un menu de fête dans des caisses isothermes. La lumière douce des bougies sur une table brillante de mille feux ; un vin capiteux ; des mets festifs ; une ambiance à la rigolade ; Ce repas se passe merveilleusement bien. Mes deux charmantes convives sont irrésistibles et je leur dis ma fascination avec tous les égards et tous les compliments qu’elles méritent. Valérie peut enfin nous raconter sa journée avec son moniteur courroucé : — Je n’en menais pas large en arrivant au bureau ce matin. Vous m’aviez rassurée, mais dans la nuit je m’étais pris le chou à nouveau. Günter était arrivé avant moi et discutait avec le patron abondamment et avec véhémence. C’était chaud, je m’attendais au pire à ce moment-là, je n’osais pas entrer. Quand j’ai franchi le seuil, j’ai vite compris qu’il était en train d’engueuler mon chef comme seul un allemand sait le faire, c’était épique. Il exigeait qu’il lui garantisse à 100% que ce serait moi qui encadrerai l’ensemble des groupes que son ...