Un dimanche d'aéroport
Datte: 07/07/2019,
Catégories:
fhh,
Collègues / Travail
uniforme,
ascenseur,
douche,
double,
... que fermes, dures comme de la pierre, voilà pourquoi les formes étaient si visibles sous son pantalon. Je me mis à les palper avec délectation, et après quelques caresses je les sentis trembler sous mes doigts alors que son souffle s’accélérait, puis ses dents s’emparèrent de ma lèvre pour une ultime morsure qui m’indiqua qu’elle allait probablement jouir. Cédric l’avait bien déjà compris et, au lieu d’accélérer le rythme des caresses, le soutenait mais avec plus de fermeté. Elle explosa contre ma bouche, libérant un râle profond et animal entre ses dents qui emprisonnaient toujours ma lèvre désormais ankylosée. Ses fesses tremblaient toujours et elle balançait son bassin d’arrière en avant comme pour forcer Cédric à aller toujours plus loin dans ses derniers mouvements de langue. Mon excitation était au summum et, prisonnier d’une puissante érection, je frottais inconsciemment ma verge sur sa hanche à travers mon pantalon. La scène, malgré son intensité, n’avait probablement pas duré plus de cinq minutes. Cédric profita de l’abandon passager de la jeune femme pour se relever, les lèvres, le nez et le menton tout mouillés, ouvrit sa braguette et libéra une véritable matraque de chair bien décidée à en découdre. La fille, quittant mes lèvres et libérant enfin les miennes, pencha la tête sur le côté et aperçut la bête prête à sévir : cela parut l’inquiéter pour la première fois ; elle fronça immédiatement les sourcils et, bien qu’elle continuât à sourire, se redressa aussi ...
... sec, me repoussa net, remonta son bustier, sa culotte et son pantalon en quelques secondes. Cédric resta planté là, sans voix, la bite à l’air, balbutiant quelques mots : — M… mais… pourquoi ?— Je dois partir, mon ami doit s’impatienter. Je suis désolée. Elle se rajusta très vite, et alors que Cédric restait toujours immobile, elle saisit la clé qui était sur le panneau, la tourna dans un sens, sans effet, puis aussi sec dans l’autre, ce qui fit repartir brusquement l’ascenseur. Cédric, paniqué, renfournain extremis sa queue dans son pantalon avant que l’ascenseur n’ouvre ses portes sur le parking souterrain. La jeune Antillaise vérifia une dernière fois sa mise dans le miroir de l’ascenseur, puis sortit sans un mot. Je lui emboîtai le pas et l’attrapai par la main pour la ramener vers moi et l’embrasser, ce qu’elle me laissa faire mais me repoussa doucement juste après, me chuchotant : — C’était sympa, même si je ne sais pas ce qui nous a pris ; c’était bien, mais restes-en là, s’il te plaît. Je ne te connais pas et c’est mieux comme ça. Maintenant, laisse-moi tranquille : je ne veux pas qu’il me voie avec toi. Voyant que je m’étais arrêté et que je n’allais pas la suivre, elle reprit confiance dans la situation, retrouva son air coquin, me fit un clin d’œil, un petit signe de la main et tourna les talons. Je ne dis pas un mot. Je la regardais partir et j’avais l’impression que je n’existais déjà plus pour elle. Bizarre : elle s’était adressée uniquement à moi alors que c’était ...