1. Un dimanche d'aéroport


    Datte: 07/07/2019, Catégories: fhh, Collègues / Travail uniforme, ascenseur, douche, double,

    ... mais elle ne cherchait aucunement à se dégager : elle semblait avec étonnement et curiosité attendre la suite. Je décidai de ne pas entrer à ce moment, pour ne pas l’effrayer, d’autant qu’elle ne semblait pas immédiatement m’avoir remarqué, concentrée sur le regard de cet homme qui la désirait. Cédric commença doucement à embrasser son visage mouillé, et peu à peu elle lui rendit ses baisers par petites touches rapides. À ce moment, elle se rendit compte de ma présence, tourna la tête vers moi et me regarda. Je me tenais face à la scène, en uniforme, ma chemise déjà déboutonnée face à l’intense chaleur humide de la salle de douche. Je contemplais son corps à moitié dévoilé : des épaules délicates et un cou très fin, joliment dessiné, son sein gauche effectivement petit mais au bout duquel durcissait un téton rose pâle énorme, de ceux qui parfois chez certaines femmes prennent presque la moitié du sein. Sa jambe gauche, forte et sculptée, laissait deviner un fessier conséquent et ferme, mais je pouvais difficilement le voir car les mains gourmandes de Cédric le recouvraient presque en entier. Je finis mon parcours visuel sur de jolis petits orteils malheureusement abîmés par des années de marche en sandales ou pieds nus, le vernis des ongles écaillé indiquant que cette belle plante bien cachée sous sa blouse ne devait pas souvent avoir l’occasion de se mettre en valeur. Ma manière quasi clinique de la détailler des pieds à la tête aurait pu lui déplaire, mais je n’en eus pas ...
    ... du tout l’impression : après un moment que j’interprétai comme de l’hésitation et pendant lequel elle sembla apprécier de me voir avec cet uniforme à presque un mètre d’elle, nue, elle me fit un petit sourire, ferma les yeux et posa sa tête sur la poitrine de Cédric, cherchant à recevoir sur son visage le jet de la douche. Cédric alternait ses coups d’œil affolés entre moi et ce corps savoureux qu’il caressait désormais de haut en bas, des épaules aux cuisses et des seins aux fesses. Je me désapai lentement, sûr de ce qui allait se passer. Nu, j’entrai sous la douche rejoindre le duo, et je m’aperçus que j’avais légèrement débandé, ce que je mis sur le compte de l’émotion intense du moment. L’eau, effectivement très chaude, me saisit le dos et les épaules. Je passai derrière elle, me collant doucement contre son dos et son appétissant derrière désormais libre. Ma verge, demi-molle, s’inséra le long de sa raie et je me mis à lui caresser la taille et lui embrasser le cou. Je recommençai alors immédiatement à bander très fort. Elle le sentit. Couverte de baisers et explorée par quatre mains, elle semblait se relâcher, se détendre et goûter la situation. Je pris le tube de gel douche et en sortis une énorme poignée. Je le tendis ensuite à Cédric qui fit de même. Nous nous décalâmes légèrement pour éviter le jet et nous entreprîmes de la savonner intégralement, mais très doucement et très sensuellement. Je remarquai assez vite et sans surprise que certains endroits où l’on passait ...
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