Un dimanche d'aéroport
Datte: 07/07/2019,
Catégories:
fhh,
Collègues / Travail
uniforme,
ascenseur,
douche,
double,
... même par esquisser un léger sourire et bredouilla quelques mots à la va-vite : — Vous avez besoin de la douche ? Cédric lui sortit un sourire comme lui seul a le secret. — Oui, mais pas de soucis ; prenez votre temps ! Le salaud… Assis sur le banc, il commençait déjà à déboutonner sa chemise sous les yeux de la jeune femme. Elle rentra la tête. — Mais alors ça ne dérange pas d’attendre un peu ? dit-elle avec son accent à couper au couteau. Et là, Cédric, toujours aussi gonflé : — Non, non, on va attendre ; mais bon, attention : si vous êtes trop longue, j’arrive ! La fille ne répondit rien et Cédric, ne tenant plus sur le banc, me glissa : — Tu vois, là, c’est bon : j’attends un peu ; mais si après ce que je lui ai dit, elle reste encore longtemps sous la douche, j’y vais ! Je lui montrai un visage et un regard pleins d’incrédulité, mais j’attendais secrètement la suite, mon excitation se faisant de plus en plus grande, bien que mêlée d’incertitude. L’attente commença, rythmée par le bruit lourd de la douche et la respiration forte de Cédric qui ne pouvait plus s’empêcher de me chuchoter à l’oreille ses pronostics cochons sur la suite des événements… Mais la douche ne s’arrêtait pas ; cela me semblait déjà une éternité, j’étais littéralement bluffé par Cédric, je commençais à y croire sérieusement et l’éventualité qu’il se passe bientôt quelque chose dans cette douche rendait mon érection encore plus forte. Cédric semblait faire des efforts surhumains pour s’empêcher de se ...
... lever du banc, il semblait hésiter. Sur le moment opportun probablement. Puis brusquement il se leva comme propulsé par un ressort, et se dirigea lentement vers la douche : torse nu, il avait gardé son pantalon et même moi je pouvais voir l’énorme bosse qui le déformait. Il se planta juste devant la cabine, qui n’avait ni rideau ni porte ; je ne pouvais voir que lui, mais je compris l’intensité du moment car il regardait l’intérieur de la douche avec un désir qui lui consumait tout le visage. À ce moment, je m’imaginais ce qu’il regardait et je m’aperçus que je tremblais légèrement de désir. La douche continuait à couler tout aussi bruyamment, et il ne se passa rien : aucune réaction de la jeune femme ; le suspense érotique était alors à son paroxysme. Puis je vis Cédric lui sourire et, tout en continuant à sourire, il défit son pantalon puis son caleçon, tout doucement : il avait gagné, et moi je restais bouche bée devant tant d’audace. Une fois nu, il continua à regarder quelques secondes à l’intérieur de la douche ; il bandait très fort et ses mains, le long de son corps, tremblaient légèrement, comme les miennes. Puis il entra sous l’eau et disparut de ma vue. N’hésitant plus, je m’approchai lentement de la cabine. Elle se tenait sous l’eau chaude, de profil, nue et fixait dans les yeux Cédric, plus grand d’une tête, se pressant contre elle, et qui commençait à lui caresser le dos et les fesses. Elle avait ses mains juste posées sur le torse de Cédric, hésitantes, timides, ...