Une sortie en boîte pas comme les autres - Histoires de Sexe

Une sortie en boîte pas comme les autres

... Mais l’excitation de l’interdit, la différence d’âge, ça a aidé à me donner du plaisir. Tout en parlant, elle caressait ma queue qui reposait initialement sur mes couilles. Mais sous ses doigts experts, elle retrouva vite du poil de la bête pour se durcir comme avant. — Eh bien ! Quelle fougue ! Tu en as encore envie ?— Je suis prêt à le faire autant de fois que tu le voudras.— Ce serait dommage de ne pas profiter d’une telle vigueur…— Mais je n’avais qu’une capote…— Oh non…Je ne pensais pas en avoir besoin ce soir…Je n’en ai pas non plus.— Et dans la chambre de ta belle-fille, on ne pourrait pas en trouver ?— Il doit bien y en avoir, mais je ne vais pas fouiller dans ses affaires.— Je le fais si tu veux. Je remettrai tout en place.— Ça me gêne quand même.— Allez, tu n’as pas envie que je te remplisse à nouveau.— Bon d’accord, on va voir. Nous nous dirigeâmes vers la chambre de sa belle-fille, nus comme des vers. Alors qu’elle regardait dans la table de nuit, j’ouvrai les tiroirs d’une commode ; je tombai sur les sous-vêtements. Malgré les protestations d’Annie, je pris tout mon temps pour regarder la lingerie fine de sa belle-fille. Elle possédait de très beaux ensembles en dentelle, ainsi que des strings originaux. Je pus voir sur les soutiens-gorge qu’elle faisait un 85 bonnet C. Elle possédait aussi un porte-jarretelles et des bas noirs. Cette fille devait être aussi coquine que sa belle-mère. Alors que j’allais arrêter avec ce tiroir, je découvris une boîte de capote ...

... avec à côté, oh surprise, un gode ! Je montrai donc cela à Annie. — Tu as vu ce que ta belle-fille cache ?— Oh, mince alors ! Je ne pensais pas qu’elle avait un sex-toy.— Et toi ? Tu en as un ?— Non ! Bien sûr que non !— Et tu n’as pas envie d’essayer ?— Pour quoi faire ? Je préfère une vraie bite.— Je suis sûr qu’on pourrait s’amuser avec, fais moi confiance.— OK, si tu veux. Alors qu’elle allait sortir, je la plaquai contre le mur et me collai à elle. Je mis une main sur ses seins et l’autre sur sa chatte encore trempée. — Alors, tu as encore envie ?— Bien sûr, me répondit-elle en poussant un gémissement de plaisir.— Alors pour me faire plaisir, enfile ce porte-jarretelles. J’ai envie que tu le portes quand je te prendrai.— D’accord, mais toi, pour me faire plaisir, tu vas me la mettre dans le cul. À ces mots, mon visage s’illumina ; non seulement, je couchais avec une femme mariée, mais en plus, j’allais l’enculer. — Si ça peut te faire plaisir, ce sera une joie pour moi.— Attends-moi dans la chambre, j’arrive. Elle sortit de la chambre de sa belle-fille devant moi et se dirigea vers la salle de bains. Je me dirigeai vers la chambre, le godemiché à la main. Elle revint au bout de quelques minutes, avec le porte-jarretelles ainsi que des talons aiguilles et avec un tube à la main. Je devinai rapidement qu’il s’agissait de lubrifiant. Elle se mit à quatre pattes devant moi et me tendit le tube. — Vas-y, n’hésite pas à lubrifier.— Je dois t’avouer que c’est la première fois que ...